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Les autorités chinoises auraient choisi de suspendre l'attribution de nouvelles licences permettant aux cafés Internet de pratiquer leur activité.
La Chine, palme d'Or 2004 des trophées de la répression sur le Net décernés par Reporters sans frontières, aurait suspendu l'attribution de nouvelles licences permettant aux cafés Internet de fonctionner légalement.
Selon l'agence de presse Xinhua (www.xinhua.org), dans un premier temps, au cours du premier trimestre 04, les autorités chinoises auraient ordonné la fermeture de plus de 8500 cybercafés. Il est probable que 8000 établissements supplémentaires aient été fermés depuis.
Ces cafés Internet ont été accusés d'avoir fourni à leurs clients un accès au web sans avoir de licence ou d'avoir laissé entrer des mineurs dans leurs établissements.
En ce mois de juin 2004, a rapporté Xinhua (Chine Nouvelle), le gouvernement chinois (industrie et commerce) aurait purement et simplement suspendu l'attribution de nouvelles licences permettant aux cafés Internet et aux discothèques de pratiquer leurs activités respectives.
Après qu'un incendie ait dévasté un espace Internet clandestin à Pékin en juin 2002, les autorités chinoises ont mis en place des mesures de filtrage de sites et de fermeture de milliers de cybercafés accusés de ne pas respecter la réglementation.
La Chine actuelle, pays de plus de 1,3 milliard d'habitants, désormais dirigée par Hu JINTAO, compte environ 70 millions d'internautes.
Désormais, il semble que la présence de cybercafés et de discothèques en Chine "à moins de 200 mètres d'une école élémentaire ou secondaire soit interdite", a précisé Xinhua.
La Chine, palme d'Or 2004 des trophées de la répression sur le Net décernés par Reporters sans frontières, aurait suspendu l'attribution de nouvelles licences permettant aux cafés Internet de fonctionner légalement.
Selon l'agence de presse Xinhua (www.xinhua.org), dans un premier temps, au cours du premier trimestre 04, les autorités chinoises auraient ordonné la fermeture de plus de 8500 cybercafés. Il est probable que 8000 établissements supplémentaires aient été fermés depuis.
Ces cafés Internet ont été accusés d'avoir fourni à leurs clients un accès au web sans avoir de licence ou d'avoir laissé entrer des mineurs dans leurs établissements.
En ce mois de juin 2004, a rapporté Xinhua (Chine Nouvelle), le gouvernement chinois (industrie et commerce) aurait purement et simplement suspendu l'attribution de nouvelles licences permettant aux cafés Internet et aux discothèques de pratiquer leurs activités respectives.
Après qu'un incendie ait dévasté un espace Internet clandestin à Pékin en juin 2002, les autorités chinoises ont mis en place des mesures de filtrage de sites et de fermeture de milliers de cybercafés accusés de ne pas respecter la réglementation.
La Chine actuelle, pays de plus de 1,3 milliard d'habitants, désormais dirigée par Hu JINTAO, compte environ 70 millions d'internautes.
Désormais, il semble que la présence de cybercafés et de discothèques en Chine "à moins de 200 mètres d'une école élémentaire ou secondaire soit interdite", a précisé Xinhua.
