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Profitant des résultats financiers décevants de PeopleSoft, Oracle a décidé de revoir à la baisse son offre publique d'achat sur son concurrent
Larry Elison est milliardaire mais il ne compte pas gaspiller son argent. A la suite de l'annonce de résultats financiers trimestriels inférieurs aux prévisions des analystes pour PeopleSoft, son concurrent Oracle a décidé de revoir à la baisse son offre publique d'achat.
Concrètement, Oracle offre désormais 21 dollars par action contre 26 dollars il y a encore quelques jours. "Cette correction reflète l'évolution de la valeur de PeopleSoft", commente laconiquement le directeur financier d'Oracle dans les colonnes de News.com. Après avoir frôlé les 24 dollars en janvier 2004, l'action PeopleSoft est en effet retombée à environ 16.6 dollars.
Oracle démontre ainsi son obstination à mettre la main sur son concurrent afin de se hisser au second rang derrière sur le marché des ERP. Reste à connaître la position du management de PeopleSoft qui a fait preuve jusqu'à présent d'une grande détermination dans son refus de l'offre d'Oracle ce qui, avec du recul, n'a pas forcément systématiquement été dans l'intérêt de ses actionnaires si l'on en juge l'évolution de son cours depuis 3 mois.
Larry Elison est milliardaire mais il ne compte pas gaspiller son argent. A la suite de l'annonce de résultats financiers trimestriels inférieurs aux prévisions des analystes pour PeopleSoft, son concurrent Oracle a décidé de revoir à la baisse son offre publique d'achat.
Concrètement, Oracle offre désormais 21 dollars par action contre 26 dollars il y a encore quelques jours. "Cette correction reflète l'évolution de la valeur de PeopleSoft", commente laconiquement le directeur financier d'Oracle dans les colonnes de News.com. Après avoir frôlé les 24 dollars en janvier 2004, l'action PeopleSoft est en effet retombée à environ 16.6 dollars.
Oracle démontre ainsi son obstination à mettre la main sur son concurrent afin de se hisser au second rang derrière sur le marché des ERP. Reste à connaître la position du management de PeopleSoft qui a fait preuve jusqu'à présent d'une grande détermination dans son refus de l'offre d'Oracle ce qui, avec du recul, n'a pas forcément systématiquement été dans l'intérêt de ses actionnaires si l'on en juge l'évolution de son cours depuis 3 mois.