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Alors que SFR n'a pas observé de baisse de son trafic, QueChoisir affirme que son appel au boycott des SMS a été suivi par 24% des 18-24 ans.
Le bras de fer entre opérateurs GSM et associations de consommateurs n'est pas terminé. Alors que SFR n'a pas observé de baisse de son trafic le 9 Mai dernier, l'association UFC- QueChoisir affirme que son appel au boycott des SMS a été suivi par 24% des 18-24 ans.
Après une étude menée par l'Institut CSA auprès d'un échantillon représentatif de Français âgés de plus de 18 ans, il ressort que : 59 % des Français ont entendu parler de l'appel au boycott. 24 % ont suivi le boycott du 9 mai 2004 et parmi eux 44 % des 18-24 ans qui envoient près de 46 % des SMS en France.
"Ces résultats consolident l'information de source informelle, parvenue à l'association dès le lundi 10 mai, qui faisait état d'une baisse d'au moins 25 % du trafic SMS le dimanche 9 mai 2004. L'UFC-Que Choisir accuse donc les opérateurs soit de ne pas livrer les données réelles du trafic, soit d'avoir pris en compte le nombre très important de SMS qu'ils ont volontairement envoyés eux-mêmes à leurs clients, ce jour-là." précise l'association dans un communiqué.
Reste que l'UFC a tout de même réussi à populariser sa petite croisade. Sous la pression, les opérateurs semblent décidés à proposer dès cet été de nouvelles offres afin de faire baisser le prix des SMS, mode de communication plébiscité par les jeunes adultes.
Le bras de fer entre opérateurs GSM et associations de consommateurs n'est pas terminé. Alors que SFR n'a pas observé de baisse de son trafic le 9 Mai dernier, l'association UFC- QueChoisir affirme que son appel au boycott des SMS a été suivi par 24% des 18-24 ans.
Après une étude menée par l'Institut CSA auprès d'un échantillon représentatif de Français âgés de plus de 18 ans, il ressort que : 59 % des Français ont entendu parler de l'appel au boycott. 24 % ont suivi le boycott du 9 mai 2004 et parmi eux 44 % des 18-24 ans qui envoient près de 46 % des SMS en France.
"Ces résultats consolident l'information de source informelle, parvenue à l'association dès le lundi 10 mai, qui faisait état d'une baisse d'au moins 25 % du trafic SMS le dimanche 9 mai 2004. L'UFC-Que Choisir accuse donc les opérateurs soit de ne pas livrer les données réelles du trafic, soit d'avoir pris en compte le nombre très important de SMS qu'ils ont volontairement envoyés eux-mêmes à leurs clients, ce jour-là." précise l'association dans un communiqué.
Reste que l'UFC a tout de même réussi à populariser sa petite croisade. Sous la pression, les opérateurs semblent décidés à proposer dès cet été de nouvelles offres afin de faire baisser le prix des SMS, mode de communication plébiscité par les jeunes adultes.
