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Jeudi, l'industrie américaine du disque a signalé avoir déposé de nouvelles plaintes contre 477 particuliers accusés de diffusion illégale de musique en ligne.
Dans le cadre de sa campagne contre la copie illégale de fichiers musicaux sur Internet, la RIAA (Recording Industry Association of America) a annoncé avoir déposé plainte contre 477 internautes supplémentaires.
Il est probable que certains de ces dossiers soient réglés « à l'amiable », via le versement de 3000 dollars environ par internaute.
Depuis le lancement de son offensive en septembre 2003 aux Etats-Unis, la RIAA a poursuivi en justice plus de 2450 internautes accusés de ne pas respecter la législation américaine sur les droits d'auteur en téléchargeant et en diffusant illégalement de la musique en ligne.
Sur décision de justice rendue en décembre dernier, l'organisation américaine ne peut plus exiger des prestataires techniques qu'ils révèlent l'identité de leurs abonnés suspectés d'être des adeptes de l'échange gratuit de fichiers musicaux sur sites Peer-to-Peer (P2P), comme Morpheus ou KaZaA.
Par conséquent, la RIAA identifie les suspects via l'adresse IP (Internet Protocol) utilisée, et passe par une procédure judiciaire « contre X. »
Sur les 477 internautes récemment poursuivis, 69 auraient utilisé les réseaux informatiques d'une quinzaine d'universités américaines, dont Brown, Emory et Princeton University, pour télécharger « illégalement. »
« Il est toujours aussi important que nous continuions à travailler avec la communauté universitaire de manière à respecter les lois de ce pays et les valeurs de l'université américaine », a déclaré Cary SHERMAN, Président de la RIAA.
L'organisation américaine défend les intérêts de l'industrie du disque, dont les services officiels payants de musique en ligne. Elle compte les « majors » parmi ses membres : Warner Music Group, Universal Music, EMI, Sony Music et BMG.
Dans le cadre de sa campagne contre la copie illégale de fichiers musicaux sur Internet, la RIAA (Recording Industry Association of America) a annoncé avoir déposé plainte contre 477 internautes supplémentaires.
Il est probable que certains de ces dossiers soient réglés « à l'amiable », via le versement de 3000 dollars environ par internaute.
Depuis le lancement de son offensive en septembre 2003 aux Etats-Unis, la RIAA a poursuivi en justice plus de 2450 internautes accusés de ne pas respecter la législation américaine sur les droits d'auteur en téléchargeant et en diffusant illégalement de la musique en ligne.
Sur décision de justice rendue en décembre dernier, l'organisation américaine ne peut plus exiger des prestataires techniques qu'ils révèlent l'identité de leurs abonnés suspectés d'être des adeptes de l'échange gratuit de fichiers musicaux sur sites Peer-to-Peer (P2P), comme Morpheus ou KaZaA.
Par conséquent, la RIAA identifie les suspects via l'adresse IP (Internet Protocol) utilisée, et passe par une procédure judiciaire « contre X. »
Sur les 477 internautes récemment poursuivis, 69 auraient utilisé les réseaux informatiques d'une quinzaine d'universités américaines, dont Brown, Emory et Princeton University, pour télécharger « illégalement. »
« Il est toujours aussi important que nous continuions à travailler avec la communauté universitaire de manière à respecter les lois de ce pays et les valeurs de l'université américaine », a déclaré Cary SHERMAN, Président de la RIAA.
L'organisation américaine défend les intérêts de l'industrie du disque, dont les services officiels payants de musique en ligne. Elle compte les « majors » parmi ses membres : Warner Music Group, Universal Music, EMI, Sony Music et BMG.
