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Le premier opérateur mobile japonais, NTT DoCoMo, inaugure un centre dédié à la mesure et à l'analyse de l'impact de la téléphonie mobile sur la société.
NTT DoCoMo (www.nttdocomo.com), premier opérateur japonais de téléphonie mobile devant KDDI et J-Phone, renforce ses activités de R&D et de veille.
Dans un communiqué publié début avril 2004, l'opérateur mobile nippon a signalé l'ouverture à Tokyo du « Mobile Society Research Institute. »
Ce centre est chargé de mesurer et d'analyser les répercussions sociales de la téléphonie mobile sous quatre angles : l'impact sur la société et la culture ; la législation ; l'impact sur l'industrie ; la téléphonie mobile en tant qu'infrastructure sociale.
Au sein de l'institut, différents spécialistes, des télécoms à la psychologie, étudieront le présent et le futur des communications mobiles. Les résultats de leurs travaux seront proposés au public à travers des rapports, publications et forums.
Takemochi ISHII, professeur émérite de l'Université de Tokyo et Président du Tokio Marine Research Institute, prend la tête du comité exécutif de l'Institut « mobile » ouvert par NTT DoCoMo.
A travers le Mobile Society Research Institute, l'opérateur mobile japonais a bien l'ambition de participer activement à la création « d'une nouvelle culture des télécommunications.»
A l'heure actuelle, NTT DoCoMo propose ses services à 48 millions de clients environ, dont plus de 40 millions sont abonnés à l'i-mode.
« Internet de poche » importé en France par Bouygues Telecom, l'i-mode s'appuie sur une norme propriétaire utilisant un réseau cellulaire numérique de seconde génération (débit maximal 9,6 Kbits/s).
Parallèlement à ce service, DoCoMo a été le premier opérateur au monde a lancé un service de téléphonie mobile de troisième génération : FOMA. Lancé en octobre 2001, le service 3G de DoCoMo est basé sur la norme Wideband CDMA et supporte des débits de 64 Kbit/s à 384 Kbit/s.
Fin mars 2004, NTT DoCoMo a signalé avoir enregistré plus de 3 millions d'abonnés à son service FOMA.
NTT DoCoMo (www.nttdocomo.com), premier opérateur japonais de téléphonie mobile devant KDDI et J-Phone, renforce ses activités de R&D et de veille.
Dans un communiqué publié début avril 2004, l'opérateur mobile nippon a signalé l'ouverture à Tokyo du « Mobile Society Research Institute. »
Ce centre est chargé de mesurer et d'analyser les répercussions sociales de la téléphonie mobile sous quatre angles : l'impact sur la société et la culture ; la législation ; l'impact sur l'industrie ; la téléphonie mobile en tant qu'infrastructure sociale.
Au sein de l'institut, différents spécialistes, des télécoms à la psychologie, étudieront le présent et le futur des communications mobiles. Les résultats de leurs travaux seront proposés au public à travers des rapports, publications et forums.
Takemochi ISHII, professeur émérite de l'Université de Tokyo et Président du Tokio Marine Research Institute, prend la tête du comité exécutif de l'Institut « mobile » ouvert par NTT DoCoMo.
A travers le Mobile Society Research Institute, l'opérateur mobile japonais a bien l'ambition de participer activement à la création « d'une nouvelle culture des télécommunications.»
A l'heure actuelle, NTT DoCoMo propose ses services à 48 millions de clients environ, dont plus de 40 millions sont abonnés à l'i-mode.
« Internet de poche » importé en France par Bouygues Telecom, l'i-mode s'appuie sur une norme propriétaire utilisant un réseau cellulaire numérique de seconde génération (débit maximal 9,6 Kbits/s).
Parallèlement à ce service, DoCoMo a été le premier opérateur au monde a lancé un service de téléphonie mobile de troisième génération : FOMA. Lancé en octobre 2001, le service 3G de DoCoMo est basé sur la norme Wideband CDMA et supporte des débits de 64 Kbit/s à 384 Kbit/s.
Fin mars 2004, NTT DoCoMo a signalé avoir enregistré plus de 3 millions d'abonnés à son service FOMA.