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Les sociétés AOL, Microsoft, et , fournisseurs de services gratuits de messagerie électronique sur Internet, réunissent leurs forces Outre-Atlantique pour mieux lutter contre le spam ou l'envoi massif de courriers électroniques commerciaux non sollicités.
Le 10 mars 2004, les directions de ces quatre ténors de l'Internet américain ont signalé à la presse avoir déposé plainte devant les cours fédérales de Californie, Géorgie, Virginie et l'Etat de Washington - où siègent chacune des entreprises concernées.
« Premières grandes plaintes de l'industrie » depuis l'entrée en vigueur le 1e janvier 2004 du « Can-Spam Act », loi américaine signée par le Président BUSH mi-décembre dernier, ces plaintes ciblent « des centaines d'individus, parmi lesquels certains des plus importants pourvoyeurs de spams du pays. »
Les suspects sont accusés d'avoir emprunté de fausses identités pour émettre « des sollicitations trompeuses sur divers produits et services (bancaires, pharmaceutiques, universitaires). »
Pour les seuls Etats-Unis, les quatre sociétés plaignantes estiment désormais le nombre de spams transmis aux utilisateurs de leurs services à « plusieurs centaines de millions » au total.
Il faut rappeler que la loi américaine « Can-Spam » n'interdit pas les spams, mais autorise la Commission fédérale du commerce (Federal Trade Commission - www.ftc.gov) à établir un annuaire de citoyens américains qui ne veulent plus recevoir ces e-mails.
Par ailleurs, les auteurs de spams à caractère commercial et/ou pornographique risquent aux Etats-Unis jusqu'à deux millions de dollars d'amende et jusqu'à cinq ans de prison.
En France, le mois dernier les filiales nationales d'AOL et de Microsoft ont signalé avoir déposé plainte contre une société de vente par correspondance accusée d'envoyer « plusieurs centaines de milliers de spams. »
Le 10 mars 2004, les directions de ces quatre ténors de l'Internet américain ont signalé à la presse avoir déposé plainte devant les cours fédérales de Californie, Géorgie, Virginie et l'Etat de Washington - où siègent chacune des entreprises concernées.
« Premières grandes plaintes de l'industrie » depuis l'entrée en vigueur le 1e janvier 2004 du « Can-Spam Act », loi américaine signée par le Président BUSH mi-décembre dernier, ces plaintes ciblent « des centaines d'individus, parmi lesquels certains des plus importants pourvoyeurs de spams du pays. »
Les suspects sont accusés d'avoir emprunté de fausses identités pour émettre « des sollicitations trompeuses sur divers produits et services (bancaires, pharmaceutiques, universitaires). »
Pour les seuls Etats-Unis, les quatre sociétés plaignantes estiment désormais le nombre de spams transmis aux utilisateurs de leurs services à « plusieurs centaines de millions » au total.
Il faut rappeler que la loi américaine « Can-Spam » n'interdit pas les spams, mais autorise la Commission fédérale du commerce (Federal Trade Commission - www.ftc.gov) à établir un annuaire de citoyens américains qui ne veulent plus recevoir ces e-mails.
Par ailleurs, les auteurs de spams à caractère commercial et/ou pornographique risquent aux Etats-Unis jusqu'à deux millions de dollars d'amende et jusqu'à cinq ans de prison.
En France, le mois dernier les filiales nationales d'AOL et de Microsoft ont signalé avoir déposé plainte contre une société de vente par correspondance accusée d'envoyer « plusieurs centaines de milliers de spams. »