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Après avoir obtenu une hausse de 3,6% de l'abonnement mensuel à la téléphonie fixe en juillet 2002 (de 12,55 à 13 euros par mois), France Télécom a confirmé lundi, après publication d'un article du quotidien économique Les Echos, avoir déposé auprès de l'exécutif français une nouvelle demande pour 2003.
Comme chaque année, la période estivale voit les prix augmenter, de l'électricité aux transports. Côté téléphonie fixe, l'opérateur historique réclame cette fois une hausse de 2,3% par mois du prix de l'abonnement principal.
Cette demande "est calée sur la hausse des prix", a déclaré un porte-parole de France Télécom, avant de préciser que le groupe est maintenant "en attente de la décision du gouvernement."
Les tarifs proposés par France Télécom doivent faire l'objet d'une homologation par les autorités de tutelle avant d'être validés. Quant à l'Autorité de régulation des télécommunications (ART), elle émet un avis sur ces problématiques.
L'ART ne serait pas opposée à la demande de France Télécom car, malgré l'augmentation souhaitée, l'abonnement fixe principal resterait "l'un des moins chers d'Europe" et "inférieur au coût".
Lundi après-midi l'Autorité de régulation n'avait toujours pas commenté ce projet.
D'après Les Echos, le Premier ministre, Jean-Pierre RAFFARIN, devrait lui-même trancher pour ou contre cette augmentation de l'abonnement principal à la téléphonie fixe.
Il est probable que l'abonnement ne sera bientôt plus facturé 13 euros, mais bien 13,30 euros par mois, ou plutôt 26,60 euros TTC tous les deux mois. Dans ce cas, France Télécom pourrait 'gagner' 100 millions d'euros.
Le dégroupage va-t-il sauver le consommateur ? France Télécom va-t-il enfin être en mesure de vendre en gros l'abonnement principal à ses concurrents privés, notamment Cegetel et Tele2 ?
Comme chaque année, la période estivale voit les prix augmenter, de l'électricité aux transports. Côté téléphonie fixe, l'opérateur historique réclame cette fois une hausse de 2,3% par mois du prix de l'abonnement principal.
Cette demande "est calée sur la hausse des prix", a déclaré un porte-parole de France Télécom, avant de préciser que le groupe est maintenant "en attente de la décision du gouvernement."
Les tarifs proposés par France Télécom doivent faire l'objet d'une homologation par les autorités de tutelle avant d'être validés. Quant à l'Autorité de régulation des télécommunications (ART), elle émet un avis sur ces problématiques.
L'ART ne serait pas opposée à la demande de France Télécom car, malgré l'augmentation souhaitée, l'abonnement fixe principal resterait "l'un des moins chers d'Europe" et "inférieur au coût".
Lundi après-midi l'Autorité de régulation n'avait toujours pas commenté ce projet.
D'après Les Echos, le Premier ministre, Jean-Pierre RAFFARIN, devrait lui-même trancher pour ou contre cette augmentation de l'abonnement principal à la téléphonie fixe.
Il est probable que l'abonnement ne sera bientôt plus facturé 13 euros, mais bien 13,30 euros par mois, ou plutôt 26,60 euros TTC tous les deux mois. Dans ce cas, France Télécom pourrait 'gagner' 100 millions d'euros.
Le dégroupage va-t-il sauver le consommateur ? France Télécom va-t-il enfin être en mesure de vendre en gros l'abonnement principal à ses concurrents privés, notamment Cegetel et Tele2 ?
