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L'Autorité de régulation des télécommunications (ART) a rendu publics vendredi les chiffres de l'observatoire des marchés des services télécoms en France pour le 4ème trimestre 2002.
Globalement, le domaine (téléphonie et Internet ) a enregistré une hausse sur un an de 4,2% de son chiffre d'affaires, et ce grâce au succès de la téléphonie mobile.
En revanche, la part de la téléphonie fixe ne représentait plus que 38,9% de ce CA global fin 2002, contre 42,1% fin 2001. Malmenée, le fixe ne doit son salut qu'aux bons résultats de la présélection et de l'accès Internet via l'ADSL.
L'an dernier, le nombre d'abonnés à la présélection (4 millions fin 2002) a progressé de 36,5% par rapport à la même période en 2001. La hausse du nombre d'abonnements à la sélection du transporteur, bien que réelle, a été moins marquée (9%).
En matière de trafic téléphonique en revanche, le fixe boit la tasse. 28 milliards de minutes ont été enregistrées fin 2002 (14 milliards de minutes pour la téléphonie mobile + 17,7%, 18 milliards de minutes pour Internet + 15%), contre 30 milliards fin 2001.
De son côté, l'Internet haut débit via l'ADSL (asymmetric digital Subscriber line) se porte de mieux en mieux avec un parc de près de 1 400 000 abonnés fin 2002. Le marché de l'ADSL, d'après , aurait assuré une "très forte progression annuelle" (+233%).
Enfin, le secteur de la téléphonie mobile fanfaronne avec un taux de pénétration dépassant les 64%. Quant à son CA, il a progressé de 17,5% (à 3,1 milliards d'euros) au 4ème trimestre 2002, par rapport au 4ème trimestre 2001.
Dans un pays de plus de 61 millions d'habitants, le parc total de mobiles a atteint 38 585 000 unités fin 2002, soit une progression de 4,3% sur un an, avec une préférence pour les abonnements au forfait (56% du parc total des mobiles).
Désormais, le secteur des mobiles représente un tiers du marché total des télécoms en France. Très fort pour un marché âgé d'une dizaine d'années !
Globalement, le domaine (téléphonie et Internet ) a enregistré une hausse sur un an de 4,2% de son chiffre d'affaires, et ce grâce au succès de la téléphonie mobile.
En revanche, la part de la téléphonie fixe ne représentait plus que 38,9% de ce CA global fin 2002, contre 42,1% fin 2001. Malmenée, le fixe ne doit son salut qu'aux bons résultats de la présélection et de l'accès Internet via l'ADSL.
L'an dernier, le nombre d'abonnés à la présélection (4 millions fin 2002) a progressé de 36,5% par rapport à la même période en 2001. La hausse du nombre d'abonnements à la sélection du transporteur, bien que réelle, a été moins marquée (9%).
En matière de trafic téléphonique en revanche, le fixe boit la tasse. 28 milliards de minutes ont été enregistrées fin 2002 (14 milliards de minutes pour la téléphonie mobile + 17,7%, 18 milliards de minutes pour Internet + 15%), contre 30 milliards fin 2001.
De son côté, l'Internet haut débit via l'ADSL (asymmetric digital Subscriber line) se porte de mieux en mieux avec un parc de près de 1 400 000 abonnés fin 2002. Le marché de l'ADSL, d'après , aurait assuré une "très forte progression annuelle" (+233%).
Enfin, le secteur de la téléphonie mobile fanfaronne avec un taux de pénétration dépassant les 64%. Quant à son CA, il a progressé de 17,5% (à 3,1 milliards d'euros) au 4ème trimestre 2002, par rapport au 4ème trimestre 2001.
Dans un pays de plus de 61 millions d'habitants, le parc total de mobiles a atteint 38 585 000 unités fin 2002, soit une progression de 4,3% sur un an, avec une préférence pour les abonnements au forfait (56% du parc total des mobiles).
Désormais, le secteur des mobiles représente un tiers du marché total des télécoms en France. Très fort pour un marché âgé d'une dizaine d'années !
