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802.11b redonne des couleurs aux télécoms mais également au capital risque. Parallèlement au lancement de sa solution Centrino, le groupe américain Intel confirme avoir débloqué 150 millions de dollars pour investir dans des entreprises liées à WiFi.
Sur les 500 millions de dollars dont dispose "l'Intel Communication Found", le fonds géré par Intel Capital, 150 sont donc consacrés au WiFi et près de 4 jeunes pousses ont déjà bénéficié d'un investisssement de la part d'Intel :
- RovingIP.net : une chambre de compensation pour prestataires de services WiFi
- Vivato : un fabricant de commutateurs WiFi
- BroadReach Networks : un fournisseur d'accès haut débit
- Pronto Networks : fournisseur de solutions de supports de système d'exploitation pour réseaux WiFi
"Ces investissements s'inscrivent dans une stratégie d'accélération du déploiement des réseaux sans-fil à l'échelle mondiale" explique Mark Christensen, Vive Président d'Intel et Directeur de la communication Sector d'Intel Capital. "Les produits et services de ces entreprises sont complémentaires de la technologie Intel Centrino. Elles constituent l'écosystème des entreprises qui concrétiseront l'adoption massive des réseaux sans-fil haut débit".
L'attitude d'Intel marque t'elle un renouveau du capital risque ? Consultant chez MGT, une banque d'affaire française qui a longtemps accompagné les jeunes pousses dans leurs levées de fonds, Frédéric Le Brun reste prudent : "Je ne sais pas si le WiFi dégèle le capital risque, toujours est il que c'est un sujet brûlant dans l'industrie technologique [...] Le corporate Venture est une tour d'observation qui permet d'anticiper au mieux les ruptures technologiques mais concernant le venture, peu de start up européennes ont été financées sur ces technologies. Quand on commence à entendre parler d'une technologie, comme c'est le cas actuellement sur Wifi, c'est qu'il est déjà trop tard pour les investisseurs..."
Marché d'équipementiers et opérateurs, la technologie WiFi permet également de tester grandeur nature la "4G" avec des débits sans comparaison avec l'UMTS. Reste à espérer que le capital risque pourra financer les contenus et services "haut-débit" de demain.
Sur les 500 millions de dollars dont dispose "l'Intel Communication Found", le fonds géré par Intel Capital, 150 sont donc consacrés au WiFi et près de 4 jeunes pousses ont déjà bénéficié d'un investisssement de la part d'Intel :
- RovingIP.net : une chambre de compensation pour prestataires de services WiFi
- Vivato : un fabricant de commutateurs WiFi
- BroadReach Networks : un fournisseur d'accès haut débit
- Pronto Networks : fournisseur de solutions de supports de système d'exploitation pour réseaux WiFi
"Ces investissements s'inscrivent dans une stratégie d'accélération du déploiement des réseaux sans-fil à l'échelle mondiale" explique Mark Christensen, Vive Président d'Intel et Directeur de la communication Sector d'Intel Capital. "Les produits et services de ces entreprises sont complémentaires de la technologie Intel Centrino. Elles constituent l'écosystème des entreprises qui concrétiseront l'adoption massive des réseaux sans-fil haut débit".
L'attitude d'Intel marque t'elle un renouveau du capital risque ? Consultant chez MGT, une banque d'affaire française qui a longtemps accompagné les jeunes pousses dans leurs levées de fonds, Frédéric Le Brun reste prudent : "Je ne sais pas si le WiFi dégèle le capital risque, toujours est il que c'est un sujet brûlant dans l'industrie technologique [...] Le corporate Venture est une tour d'observation qui permet d'anticiper au mieux les ruptures technologiques mais concernant le venture, peu de start up européennes ont été financées sur ces technologies. Quand on commence à entendre parler d'une technologie, comme c'est le cas actuellement sur Wifi, c'est qu'il est déjà trop tard pour les investisseurs..."
Marché d'équipementiers et opérateurs, la technologie WiFi permet également de tester grandeur nature la "4G" avec des débits sans comparaison avec l'UMTS. Reste à espérer que le capital risque pourra financer les contenus et services "haut-débit" de demain.
