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A quoi ressemblera l'avenir de l'informatique ? A l'occasion d'un déjeuner de presse, François MOLLARD, DG France de software a dévoilé sa vision de l'informatique en général et de IBM software en particulier.
Après avoir involairement permis à Microsoft de dominer le marché du logiciel sur les PC, IBM entend défendre sa position sur le logiciel d'entreprise en se positionnant uniquement sur le "middlewear", le logiciel d'infrastructure.
Désormais complète, IBM sowftware se compose de 5 sous-marques :
- Rational : développement d'applications
- WebSphere : serveur d'applications
- DB2 : Bases de données
- Tivoli : Administration des données
- Lotus : Logiciels collaboratifs
Sur le plan technologique, IBM continuera d'investir dans les grilles de calcul, l'auto-paramétrage et l'auto-réparation (autonomy computing) et dans les standards comme Java ou Linux.
Sur le plan stratégique, François MOLLARD estime que l'entreprise sera désormais consommatrice de "eBusiness on demand", dans le domaine du calcul (grid computing), du stockage ou encore des applications (web services). Le paradoxe est que IBM n'entend pas forcément répondre en direct à cette demande mais préfère fournir les infrastructures à ses clients intégrateurs, qui se chargeront de la délicate question du modèle économique du logiciel "à la carte".
Soucieux de respecter un écosystème complexe, fragilisé par la crise des TMT, IBM software s'engage donc avec prudence dans la révolution des web services tout en tenant à distance d'autres géants de l'informatique comme Oracle, et surtout Microsoft, bien décidé à s'inviter sur le segment des logiciels d'infrastructure.
Après avoir involairement permis à Microsoft de dominer le marché du logiciel sur les PC, IBM entend défendre sa position sur le logiciel d'entreprise en se positionnant uniquement sur le "middlewear", le logiciel d'infrastructure.
Désormais complète, IBM sowftware se compose de 5 sous-marques :
- Rational : développement d'applications
- WebSphere : serveur d'applications
- DB2 : Bases de données
- Tivoli : Administration des données
- Lotus : Logiciels collaboratifs
Sur le plan technologique, IBM continuera d'investir dans les grilles de calcul, l'auto-paramétrage et l'auto-réparation (autonomy computing) et dans les standards comme Java ou Linux.
Sur le plan stratégique, François MOLLARD estime que l'entreprise sera désormais consommatrice de "eBusiness on demand", dans le domaine du calcul (grid computing), du stockage ou encore des applications (web services). Le paradoxe est que IBM n'entend pas forcément répondre en direct à cette demande mais préfère fournir les infrastructures à ses clients intégrateurs, qui se chargeront de la délicate question du modèle économique du logiciel "à la carte".
Soucieux de respecter un écosystème complexe, fragilisé par la crise des TMT, IBM software s'engage donc avec prudence dans la révolution des web services tout en tenant à distance d'autres géants de l'informatique comme Oracle, et surtout Microsoft, bien décidé à s'inviter sur le segment des logiciels d'infrastructure.