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Napster, ancien portail d'échange gratuit de musique en ligne qui a attiré jusqu'à 60 millions d'utilisateurs, annonce qu'il va licencier une trentaine de ses salariés, soit environ 30% de ses effectifs.
"Nous sommes toujours engagés pour lancer notre nouveau service payant sécurisé, mais nous sommes également confrontés à une difficile restructuration de nos activités... Nous avons donc choisi de licencier trente personnes", a annoncé jeudi le Directeur général de Napster, Konrad HILBERS.
A la suite d'une décision prise par la justice américaine en juillet 2001, décision qui imposait l'interdiction d'échanges de toute oeuvre protégée par copyright sur Napster, le site cessait ses activités faute de pouvoir appliquer cette décision du juge PATEL.
Warner Music, EMI Group, BMG, Universal Music, et Sony Music, comptaient parmi les labels à l'origine de ce procès contre Napster. Bertelsmann, pour sa part, est devenu un de ses principaux investisseurs et travaille depuis à la relance du service dans sa version payante.
Une relance qui se fait attendre ! Les discussions avec Bertelsmann AG sont suspendues et la procédure judiciaire suit son cours.
D'après Reuters, la participation de Bertelsmann dans Napster se situerait entre 15 et 30 millions de dollars. Cependant, celle-ci reste suspendue à la décision finale de la justice américaine sur le sort du portail.
Le service en ligne d'échange de fichiers musicaux ne pourra d'ailleurs reprendre ses activités tant que ne seront pas retirées de son catalogue les oeuvres protégées par droits d'auteur.
"Nous sommes toujours engagés pour lancer notre nouveau service payant sécurisé, mais nous sommes également confrontés à une difficile restructuration de nos activités... Nous avons donc choisi de licencier trente personnes", a annoncé jeudi le Directeur général de Napster, Konrad HILBERS.
A la suite d'une décision prise par la justice américaine en juillet 2001, décision qui imposait l'interdiction d'échanges de toute oeuvre protégée par copyright sur Napster, le site cessait ses activités faute de pouvoir appliquer cette décision du juge PATEL.
Warner Music, EMI Group, BMG, Universal Music, et Sony Music, comptaient parmi les labels à l'origine de ce procès contre Napster. Bertelsmann, pour sa part, est devenu un de ses principaux investisseurs et travaille depuis à la relance du service dans sa version payante.
Une relance qui se fait attendre ! Les discussions avec Bertelsmann AG sont suspendues et la procédure judiciaire suit son cours.
D'après Reuters, la participation de Bertelsmann dans Napster se situerait entre 15 et 30 millions de dollars. Cependant, celle-ci reste suspendue à la décision finale de la justice américaine sur le sort du portail.
Le service en ligne d'échange de fichiers musicaux ne pourra d'ailleurs reprendre ses activités tant que ne seront pas retirées de son catalogue les oeuvres protégées par droits d'auteur.
