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Lundi, la Commission européenne a choisi de prolonger de deux ans un plan d'action débuté en 1996 afin de promouvoir une utilisation plus sûre d'Internet.
Ce plan est axé sur le développement de systèmes de filtrage et de classification "volontaire" des contenus des sites. L'objectif est de limiter l'accès aux contenus considérés comme pouvant heurter la sensibilité de certains internautes, en particulier les enfants.
L'exécutif européen souhaite depuis plusieurs années déjà encourager
l'auto réglementation en ligne, et veut inciter les grands acteurs du Net à développer un réseau de lignes directes (hot lines). Ce réseau permettrait à l'internaute d'obtenir des informations sur la sécurité d'utilisation des pages qu'il souhaite visiter.
La Commission européenne se propose de débloquer la somme de 13,3 millions d'euros, ajoutés au budget initial, afin de pouvoir assurer la bonne marche du plan jusqu'à la fin 2004.
La première phase du projet était dotée d'un budget de 25 millions d'euros.
"Les contenus et les applications comptent parmi nos priorités dans le domaine du développement de l'Internet", précise dans un communiqué Erkki LIIKANEN, commissaire européen chargé des entreprises et de la société de l'information.
"Nous devons également faire en sorte que l'Internet devienne plus sûr pour chacun d'entre nous. Le plan d'action doit y contribuer. Nous nous attacherons maintenant à sensibiliser les utilisateurs aux aspects liés à la sécurité, notamment pour les applications personnalisées et interactives et les applications mobiles", ajoute-t-il.
Ce plan est axé sur le développement de systèmes de filtrage et de classification "volontaire" des contenus des sites. L'objectif est de limiter l'accès aux contenus considérés comme pouvant heurter la sensibilité de certains internautes, en particulier les enfants.
L'exécutif européen souhaite depuis plusieurs années déjà encourager
l'auto réglementation en ligne, et veut inciter les grands acteurs du Net à développer un réseau de lignes directes (hot lines). Ce réseau permettrait à l'internaute d'obtenir des informations sur la sécurité d'utilisation des pages qu'il souhaite visiter.
La Commission européenne se propose de débloquer la somme de 13,3 millions d'euros, ajoutés au budget initial, afin de pouvoir assurer la bonne marche du plan jusqu'à la fin 2004.
La première phase du projet était dotée d'un budget de 25 millions d'euros.
"Les contenus et les applications comptent parmi nos priorités dans le domaine du développement de l'Internet", précise dans un communiqué Erkki LIIKANEN, commissaire européen chargé des entreprises et de la société de l'information.
"Nous devons également faire en sorte que l'Internet devienne plus sûr pour chacun d'entre nous. Le plan d'action doit y contribuer. Nous nous attacherons maintenant à sensibiliser les utilisateurs aux aspects liés à la sécurité, notamment pour les applications personnalisées et interactives et les applications mobiles", ajoute-t-il.