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Le fabricant franco italien de semi-conducteurs a su rester bénéficiaire sur l'année malgré le marasme du secteur mais manque de visibilité pour 2002
« L'année 2001 a été une année épouvantable », a déclaré Pasquale Pistorio, le PDG du groupe franco-italien StMicroelectronics, lors de l'annonce des résultats.
Touché de pleins fouet par la récession mondiale, la contraction de la demande de PC et la crise des télécoms, le fabricant de composants a enregistré une baisse de 18,6% de ses ventes à 6,4 milliards de dollars dans un marché des semi-conducteurs en baisse de 32% en 2001.
Son bénéfice s'est effondré à 257 millions de dollars contre 1,45 milliard un an plus tôt. Cependant, alors que nombreux concurrents ont annoncé des pertes, STM est « l'un des seuls fabricants du secteur, avec Intel, à demeurer bénéficiaire", a tenu à souligner le PDG de la société.
Il a cependant admis que l'avenir demeurait incertain : « la visibilité du premier trimestre 2002 reste limitée, et la surcapacité touchant l'ensemble de l'industrie provoque des pressions sur les prix plus fortes que prévues ».
Le taux de marge brute (indicateur clé) a reculé à 37,4% contre 46% un an plus tôt. Ce taux s'est situé à 31,7% au quatrième trimestre et devrait encore se dégrader à 31%, avec un chiffre d'affaires en baisse de 3 à 7% pour le 1er trimestre 2002.
Pasquale Pistorio s'est refusé à fournir des prévisions de résultats sur l'ensemble de l'exercice 2002 mais a insisté sur la capacité d'adaptation de sa société pour faire face à un recul de la demande ou à une baisse des prix.
Le fabricant franco-italien, se serait hissé au troisième rang mondial du secteur, derrière Intel et Toshiba, selon l'institut Dataquest, et entend profiter du processus de consolidation qui devrait s'accélérer : « S'il y a une opportunité nous permettant de renforcer nos positions, nous le ferons », a indiqué le patron de STM, soulignant qu'il visait les secteurs dans lesquels il était déjà présent, comme les télécommunications, l'électronique grand public, les périphériques informatiques, les composants automobiles et les cartes à puce.
« L'année 2001 a été une année épouvantable », a déclaré Pasquale Pistorio, le PDG du groupe franco-italien StMicroelectronics, lors de l'annonce des résultats.
Touché de pleins fouet par la récession mondiale, la contraction de la demande de PC et la crise des télécoms, le fabricant de composants a enregistré une baisse de 18,6% de ses ventes à 6,4 milliards de dollars dans un marché des semi-conducteurs en baisse de 32% en 2001.
Son bénéfice s'est effondré à 257 millions de dollars contre 1,45 milliard un an plus tôt. Cependant, alors que nombreux concurrents ont annoncé des pertes, STM est « l'un des seuls fabricants du secteur, avec Intel, à demeurer bénéficiaire", a tenu à souligner le PDG de la société.
Il a cependant admis que l'avenir demeurait incertain : « la visibilité du premier trimestre 2002 reste limitée, et la surcapacité touchant l'ensemble de l'industrie provoque des pressions sur les prix plus fortes que prévues ».
Le taux de marge brute (indicateur clé) a reculé à 37,4% contre 46% un an plus tôt. Ce taux s'est situé à 31,7% au quatrième trimestre et devrait encore se dégrader à 31%, avec un chiffre d'affaires en baisse de 3 à 7% pour le 1er trimestre 2002.
Pasquale Pistorio s'est refusé à fournir des prévisions de résultats sur l'ensemble de l'exercice 2002 mais a insisté sur la capacité d'adaptation de sa société pour faire face à un recul de la demande ou à une baisse des prix.
Le fabricant franco-italien, se serait hissé au troisième rang mondial du secteur, derrière Intel et Toshiba, selon l'institut Dataquest, et entend profiter du processus de consolidation qui devrait s'accélérer : « S'il y a une opportunité nous permettant de renforcer nos positions, nous le ferons », a indiqué le patron de STM, soulignant qu'il visait les secteurs dans lesquels il était déjà présent, comme les télécommunications, l'électronique grand public, les périphériques informatiques, les composants automobiles et les cartes à puce.
