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Selon la presse américaine, la scission de Palm entre ses activités de constructeur de matériel et d'éditeur de PalmOS serait imminente
Difficile de faire coexister le métier de constructeur de terminaux et d'éditeur de système d'exploitaiton. Selon le magazine américain c|net, Palm serait sur le point de créer une filiale spécifique pour la commercialisation de PalmOS et de ses autres logiciels.
Bousculé sur le marché des ordinateurs de poche par l'arrivée des PocketPC (Compaq, Casio, HP) et par celle de concurrents exploitant son propre système d'exploitation (Sony, Handspring, Handera, Kyocera), Palm cherche donc à mettre de l'ordre dans sa stratégie industrielle.
La création d'une filiale spécifique au logiciel permettrait ainsi à Palm, qui tire un revenu d'environ 10$ pour chaque machine équipée de PalmOS, de clarifier ses relations avec les constructeurs de clônes comme le Visor de Handspring ou le tout nouveau Clie de Sony.
Face à l'offensive Microsoft ou à celle, attendue, de Symbian, Palm semble condamné à perdre sa domination sur ce marché. Mais rien n'interdit qu'il rebondisse d'ici quelques mois.
Difficile de faire coexister le métier de constructeur de terminaux et d'éditeur de système d'exploitaiton. Selon le magazine américain c|net, Palm serait sur le point de créer une filiale spécifique pour la commercialisation de PalmOS et de ses autres logiciels.
Bousculé sur le marché des ordinateurs de poche par l'arrivée des PocketPC (Compaq, Casio, HP) et par celle de concurrents exploitant son propre système d'exploitation (Sony, Handspring, Handera, Kyocera), Palm cherche donc à mettre de l'ordre dans sa stratégie industrielle.
La création d'une filiale spécifique au logiciel permettrait ainsi à Palm, qui tire un revenu d'environ 10$ pour chaque machine équipée de PalmOS, de clarifier ses relations avec les constructeurs de clônes comme le Visor de Handspring ou le tout nouveau Clie de Sony.
Face à l'offensive Microsoft ou à celle, attendue, de Symbian, Palm semble condamné à perdre sa domination sur ce marché. Mais rien n'interdit qu'il rebondisse d'ici quelques mois.
