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L'équipementier télécom japonais NEC recrute des ingénieurs et techniciens au-delà de ses frontières, en Inde et en Chine notamment.
Le groupe NEC Corporation fera lui aussi appel à de la main d'œuvre étrangère qualifiée comme d'autres sociétés des technologies de l'information et de la communication aux Etats-Unis et en Europe.
Le fabricant japonais d'ordinateurs et d'équipements de télécommunications a annoncé qu'il allait recruter de nouveaux informaticiens de la zone Asie, en Inde et en Chine en particulier.
Lors d'un séminaire patronné par le quotidien financier japonais Nihon Keizai Shimbun, le Président de NEC, Koji NISHIGAKI déclarait :
«Nous employons environ 1600 ingénieurs du sud-est asiatique en informatique et nous envisageons porter ce chiffre à 4000 d'ici 2003.»
Les entreprises, surtout japonaises et américaines, recrutent toujours plus d'ingénieurs et d'informaticiens indiens. Personnel très qualifié et souvent moins exigeant en terme de rémunération, l'équation a de quoi séduire plus d'un entrepreneur...
Lors de la conférence, le Président de NEC a par ailleurs fait référence à un projet de migration des produits et services bancaires vers un système d'exploitation sous Unix. Sur ce projet travaillent 600 ingénieurs chinois et indiens, en plus des 200 personnes en charge du programme aux Etats-Unis et au Japon.
NEC, qui doit livrer au plus vite de nouveaux combinés 3G fiables à NTT DoCoMo et British Telecom, a besoin d'une main d'œuvre technique, solide, qualifiée, qui ne grève pas ses finances. Lorsque celle-ci est issue des pays en développement, elle est souvent moins coûteuse...
Le groupe NEC Corporation fera lui aussi appel à de la main d'œuvre étrangère qualifiée comme d'autres sociétés des technologies de l'information et de la communication aux Etats-Unis et en Europe.
Le fabricant japonais d'ordinateurs et d'équipements de télécommunications a annoncé qu'il allait recruter de nouveaux informaticiens de la zone Asie, en Inde et en Chine en particulier.
Lors d'un séminaire patronné par le quotidien financier japonais Nihon Keizai Shimbun, le Président de NEC, Koji NISHIGAKI déclarait :
«Nous employons environ 1600 ingénieurs du sud-est asiatique en informatique et nous envisageons porter ce chiffre à 4000 d'ici 2003.»
Les entreprises, surtout japonaises et américaines, recrutent toujours plus d'ingénieurs et d'informaticiens indiens. Personnel très qualifié et souvent moins exigeant en terme de rémunération, l'équation a de quoi séduire plus d'un entrepreneur...
Lors de la conférence, le Président de NEC a par ailleurs fait référence à un projet de migration des produits et services bancaires vers un système d'exploitation sous Unix. Sur ce projet travaillent 600 ingénieurs chinois et indiens, en plus des 200 personnes en charge du programme aux Etats-Unis et au Japon.
NEC, qui doit livrer au plus vite de nouveaux combinés 3G fiables à NTT DoCoMo et British Telecom, a besoin d'une main d'œuvre technique, solide, qualifiée, qui ne grève pas ses finances. Lorsque celle-ci est issue des pays en développement, elle est souvent moins coûteuse...