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Le groupe Multimédia serait sur les rangs pour racheter la division terminaux mobiles de l'équipementier Alcatel
La téléphonie mobile est décidement en pleine restructuration. Suite à sa fusion ratée avec Lucent, le groupe Alcatel étudierait la cession de certaines activités non rentables comme la téléphonie mobile pour se dégager des moyens financiers pour réaliser de nouvelles opérations de croissances.
Ainsi, l'hebdomadaire allemand "Focus Money" croit savoir que le groupe Thomson Multimédia, dirigé par Thierry BRETON, serait sur les rangs pour racheter la division "terminaux mobiles", bien que TMM ait démenti cette information. Le groupe japonais Fugitsu, partenaire d'Alcatel dans l'UMTS est lui aussi mentionné.
Ayant jusqu'à présent proposé des offres complètes aux opérateurs, allant du réseau cellulaire en passant par les téléphones mobiles, les équipementiers comme Alcatel ou encore Ericsson semblent désormais réviser leur politique et envisagent des accords avec des constructeurs électronique grand public, comme en témoigne le récent accord Sony-Ericsson.
Totalement absent du marché du téléphone mobile, contrairement à ses concurrents Sony, Philips ou encore Matsushita, cet accord permettrait en tout cas à Thomson de s'imposer comme un groupe global dans le numérique et à donner à la France un nouveau géant industriel, valorisé pourtant un simple franc symbolique par Alain Juppé il y a seulement 5 ans.
La téléphonie mobile est décidement en pleine restructuration. Suite à sa fusion ratée avec Lucent, le groupe Alcatel étudierait la cession de certaines activités non rentables comme la téléphonie mobile pour se dégager des moyens financiers pour réaliser de nouvelles opérations de croissances.
Ainsi, l'hebdomadaire allemand "Focus Money" croit savoir que le groupe Thomson Multimédia, dirigé par Thierry BRETON, serait sur les rangs pour racheter la division "terminaux mobiles", bien que TMM ait démenti cette information. Le groupe japonais Fugitsu, partenaire d'Alcatel dans l'UMTS est lui aussi mentionné.
Ayant jusqu'à présent proposé des offres complètes aux opérateurs, allant du réseau cellulaire en passant par les téléphones mobiles, les équipementiers comme Alcatel ou encore Ericsson semblent désormais réviser leur politique et envisagent des accords avec des constructeurs électronique grand public, comme en témoigne le récent accord Sony-Ericsson.
Totalement absent du marché du téléphone mobile, contrairement à ses concurrents Sony, Philips ou encore Matsushita, cet accord permettrait en tout cas à Thomson de s'imposer comme un groupe global dans le numérique et à donner à la France un nouveau géant industriel, valorisé pourtant un simple franc symbolique par Alain Juppé il y a seulement 5 ans.