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Un internaute chinois aurait été condamné à quatre ans de prison pour avoir fait connaître son opinion pro-démocratie en ligne.
Selon le Centre d'information sur les droits de l'Homme de Hong Kong, un internaute chinois aurait été condamné jeudi à quatre ans de prison pour avoir diffusé des articles favorables à la démocratie sur des sites web étrangers.
Malgré les pseudonymes que l'internaute utilisait pour faire passer son message, la police retrouvait rapidement sa trace et interpellait le suspect, signale l'AFP.
Guo QINGHAI, employé de banque de 36 ans, aurait été jugé et condamné par le tribunal de Cangzhou, au sud de Pékin, pour ne pas avoir respecté la réglementation chinoise concernant le contenu des informations diffusées sur Internet.
Celle-ci exigerait qu'aucun propos «hostile» à l'égard du régime ne soit publié, sans risque de fermeture immédiate du site incriminé (s'il est chinois) ou de procès pour son auteur.
Les «cyber-dissidents» subissent les foudres des autorités chinoises ces derniers mois. Cependant, Guo QINGHAI serait le premier à avoir été condamné pour la diffusion d'articles «controversés.»
Un autre internaute accusé récemment d'avoir mis en ligne des informations sensibles sur son propre site, a vu son procès ajourné dès la première journée en février dernier.
Il n'est pas sûr, cependant, que les autorités chinoises rendent la liberté à tous ces internautes qu'elle considère comme des dissidents.
Lu XINHUA, a été arrêté il y a quelques jours pour «subversion» après avoir critiqué sur Internet le Président chinois Jiang ZEMIN...
Selon le Centre d'information sur les droits de l'Homme de Hong Kong, un internaute chinois aurait été condamné jeudi à quatre ans de prison pour avoir diffusé des articles favorables à la démocratie sur des sites web étrangers.
Malgré les pseudonymes que l'internaute utilisait pour faire passer son message, la police retrouvait rapidement sa trace et interpellait le suspect, signale l'AFP.
Guo QINGHAI, employé de banque de 36 ans, aurait été jugé et condamné par le tribunal de Cangzhou, au sud de Pékin, pour ne pas avoir respecté la réglementation chinoise concernant le contenu des informations diffusées sur Internet.
Celle-ci exigerait qu'aucun propos «hostile» à l'égard du régime ne soit publié, sans risque de fermeture immédiate du site incriminé (s'il est chinois) ou de procès pour son auteur.
Les «cyber-dissidents» subissent les foudres des autorités chinoises ces derniers mois. Cependant, Guo QINGHAI serait le premier à avoir été condamné pour la diffusion d'articles «controversés.»
Un autre internaute accusé récemment d'avoir mis en ligne des informations sensibles sur son propre site, a vu son procès ajourné dès la première journée en février dernier.
Il n'est pas sûr, cependant, que les autorités chinoises rendent la liberté à tous ces internautes qu'elle considère comme des dissidents.
Lu XINHUA, a été arrêté il y a quelques jours pour «subversion» après avoir critiqué sur Internet le Président chinois Jiang ZEMIN...
