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La Bourse de Paris repart à la baisse mercredi, affectée par le décrochage des marchés américains, déçus par la baisse des taux d'intérêt decidés par la FED
Les indices boursiers européens se replient fortement aujourd'hui, après la réduction, jugée décevante, d'un demi-point des taux d'intérêt de la Réserve fédérale américaine alors que certains analystes s'attendaient à 75 points, ce qui a entraîné une chute du Dow Jones à Wall Street (-2.39%) et notamment du (-4.80%) hier. Les contrats sur indices boursiers américains signalent que le carnage est loin d'être terminé.
La Bourse de Paris est quant à elle passée sous la barre psychologique des 5.000 points mercredi peu avant midi, affectée comme l'ensemble des places européennes.
Certains analystes jugent toutefois la réaction des marchés excessive, soulignant que la baisse de 50 points décidée par la Fed est sans surprise et que ses commentaires n'ont rien d'alarmiste.
Mais pour certains intervenants, le marché s'apprête à toucher le fond après cette décision et les commentaires de la banque centrale américaine. Il pourrait rebondir dans les semaines qui viennent.
"On est dans la phase de digestion totale des mauvaises nouvelles, ce qui entraîne une purge sur l'ensemble des secteurs", commente Jean-Luc Buchalet, stratégiste chez JCF Group, qui estime que les marchés d'actions sont arrivés près de leurs plus bas et devraient rebondir à partir d'avril ou mai.
La Bourse de Paris est quant à elle passée sous la barre psychologique des 5.000 points mercredi peu avant midi, affectée comme l'ensemble des places européennes.
Vers 14h00, le affiche une perte de 2.78% à 4995.56 points, tandis que le Nouveau Marché s'effondre de 6.34% à 1769.49 points, soit son premier passage sous les 1.800 depuis la mi-novembre 99.
Les valeurs TMT (technos, médias, télécoms) touche le fond. Un certain nombre de valeurs perdent plus de 10 % à l'exemple d'Atos ( -14,89% ), de (-14.25%) , de (-10.05%) ou de (-11.10%) après que l'américain Oracle, le deuxième éditeur mondial de logiciels, ait annoncé le licenciement de 1% à 2% de ses effectifs mondiaux, un chiffre pouvant aller jusqu'à 866 postes, pour réduire ses coûts.
Sur le nouveau marché, Genset réservé à la baisse à -18,72 % affiche la plus forte chute , IT Link perd 18.69%, Bourse Direct 16,07% Valtech 13.57%, Fi System 12.88%, ou encore 10.28%
Parmi les poids lourds de la cote, Equant chute de 9.90%, Business Objects de 8.04 %, Multimédia de 7.52%, de 6.33% tandis qu'Orange et Wanadoo affiche une baisse respective de 2.55 et 6.13%, Alcatel perd 6.49%, Stmicroelectronics 5.06%, et Vivendi Universal 3.62%.
A l'ouverture, la bourse de Wall Street est anticipée en légère baisse mais la journée n'est pas encore finie. Possible rebond ?
Les indices boursiers européens se replient fortement aujourd'hui, après la réduction, jugée décevante, d'un demi-point des taux d'intérêt de la Réserve fédérale américaine alors que certains analystes s'attendaient à 75 points, ce qui a entraîné une chute du Dow Jones à Wall Street (-2.39%) et notamment du (-4.80%) hier. Les contrats sur indices boursiers américains signalent que le carnage est loin d'être terminé.
La Bourse de Paris est quant à elle passée sous la barre psychologique des 5.000 points mercredi peu avant midi, affectée comme l'ensemble des places européennes.
Certains analystes jugent toutefois la réaction des marchés excessive, soulignant que la baisse de 50 points décidée par la Fed est sans surprise et que ses commentaires n'ont rien d'alarmiste.
Mais pour certains intervenants, le marché s'apprête à toucher le fond après cette décision et les commentaires de la banque centrale américaine. Il pourrait rebondir dans les semaines qui viennent.
"On est dans la phase de digestion totale des mauvaises nouvelles, ce qui entraîne une purge sur l'ensemble des secteurs", commente Jean-Luc Buchalet, stratégiste chez JCF Group, qui estime que les marchés d'actions sont arrivés près de leurs plus bas et devraient rebondir à partir d'avril ou mai.
La Bourse de Paris est quant à elle passée sous la barre psychologique des 5.000 points mercredi peu avant midi, affectée comme l'ensemble des places européennes.
Vers 14h00, le affiche une perte de 2.78% à 4995.56 points, tandis que le Nouveau Marché s'effondre de 6.34% à 1769.49 points, soit son premier passage sous les 1.800 depuis la mi-novembre 99.
Les valeurs TMT (technos, médias, télécoms) touche le fond. Un certain nombre de valeurs perdent plus de 10 % à l'exemple d'Atos ( -14,89% ), de (-14.25%) , de (-10.05%) ou de (-11.10%) après que l'américain Oracle, le deuxième éditeur mondial de logiciels, ait annoncé le licenciement de 1% à 2% de ses effectifs mondiaux, un chiffre pouvant aller jusqu'à 866 postes, pour réduire ses coûts.
Sur le nouveau marché, Genset réservé à la baisse à -18,72 % affiche la plus forte chute , IT Link perd 18.69%, Bourse Direct 16,07% Valtech 13.57%, Fi System 12.88%, ou encore 10.28%
Parmi les poids lourds de la cote, Equant chute de 9.90%, Business Objects de 8.04 %, Multimédia de 7.52%, de 6.33% tandis qu'Orange et Wanadoo affiche une baisse respective de 2.55 et 6.13%, Alcatel perd 6.49%, Stmicroelectronics 5.06%, et Vivendi Universal 3.62%.
A l'ouverture, la bourse de Wall Street est anticipée en légère baisse mais la journée n'est pas encore finie. Possible rebond ?
