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La nouvelle enquête mondiale d'Ernst & Young confirme la croissance de la distribution en ligne pour les années 2000.
L'étude annuelle du cabinet de consulting Ernst & Young baptisée « Global Online Retailing » portant sur le commerce en ligne, réalisée entre octobre et novembre 2000 auprès de 4 400 cyberconsommateurs et 74 dirigeants d'entreprises, répartis dans 12 pays situés sur les cinq continents vient d'être publiée.
Il en ressort qu'en dépit du fait que 2000 aura été une année noire pour de nombreux « pure e-players » et une année de prudence de la part de la communauté des investisseurs, les consommateurs du monde entier continuent à être très satisfaits du canal de distribution en ligne. Ils continuent à acheter en ligne dans des proportions toujours plus élevées et dépensent davantage d'argent dans des catégories de marchandises toujours plus diversifiées.
les États-Unis caracolent en tête du peloton de l'e-commerce planétaire : 17 % de la population américaine a acheté sur le Net, contre 11 % au Royaume-Uni, 9 % en Suisse, 8 % au Canada, 7 % en Allemagne, 6 % aux Pays-Bas, 5 % en Australie et enfin 4 % en France.
Concernant les perspectives du commerce en ligne, d'ici 2005, ce marché représenterait 10 à 12 % du volume total des ventes dans des catégories telles que l'habillement, les accessoires, la santé et la beauté, ainsi que les Jouets. Dans certaines catégories, telles que les livres, la musique, les logiciels, la vidéo ou l'électronique grand public, il pourrait même représenter 25 % des ventes.
Parmi les personnes interrogées, les anglais sont les plus grands e-consommateurs avec une moyenne de 14 produits achetés sur la toile suivi des américains (13), des allemands et des suisses (12), des français (11), des australiens, des brésiliens des sud-africains (9) : le nombre d'achat sur le net a augmenté (ou n'a pas changé) pour 97% de ces cyberconsommateurs.
Et surtout, 96 % des personnes interrogées ont reconnu que leurs dépenses sur le net a peu ou fortement augmenté en 2000 avec en moyenne un budget de 896 dollars pour les américains et 653 dollars pour les non USA, pour les français, ce chiffre s'établissant à 709 dollars.
Les acheteurs accèdent aux sites sur lesquels ils font leurs achats à partir de leur menu « favoris », suivi d'une recherche sur la marque, d'une publicité et l'utilisation d'un moteur de recherche. Le clic sur un bandeau publicitaire ou sur une l'URL à partir d'un e-mail arrivent loin derrière.
Les sites de distributeurs multi-canaux apparaissent comme les sites favoris. A noter qu'Amazon.com arrive en tête dans de nombreux pays.
Voilà des chiffres intéressants, plutôt positifs quant aux perspectives du commerce électronique, chiffres qui devraient peut-être finir par rassurer la communauté financière qui entend tout et son contraire et ne sait plus que croire !
L'étude annuelle du cabinet de consulting Ernst & Young baptisée « Global Online Retailing » portant sur le commerce en ligne, réalisée entre octobre et novembre 2000 auprès de 4 400 cyberconsommateurs et 74 dirigeants d'entreprises, répartis dans 12 pays situés sur les cinq continents vient d'être publiée.
Il en ressort qu'en dépit du fait que 2000 aura été une année noire pour de nombreux « pure e-players » et une année de prudence de la part de la communauté des investisseurs, les consommateurs du monde entier continuent à être très satisfaits du canal de distribution en ligne. Ils continuent à acheter en ligne dans des proportions toujours plus élevées et dépensent davantage d'argent dans des catégories de marchandises toujours plus diversifiées.
les États-Unis caracolent en tête du peloton de l'e-commerce planétaire : 17 % de la population américaine a acheté sur le Net, contre 11 % au Royaume-Uni, 9 % en Suisse, 8 % au Canada, 7 % en Allemagne, 6 % aux Pays-Bas, 5 % en Australie et enfin 4 % en France.
Concernant les perspectives du commerce en ligne, d'ici 2005, ce marché représenterait 10 à 12 % du volume total des ventes dans des catégories telles que l'habillement, les accessoires, la santé et la beauté, ainsi que les Jouets. Dans certaines catégories, telles que les livres, la musique, les logiciels, la vidéo ou l'électronique grand public, il pourrait même représenter 25 % des ventes.
Parmi les personnes interrogées, les anglais sont les plus grands e-consommateurs avec une moyenne de 14 produits achetés sur la toile suivi des américains (13), des allemands et des suisses (12), des français (11), des australiens, des brésiliens des sud-africains (9) : le nombre d'achat sur le net a augmenté (ou n'a pas changé) pour 97% de ces cyberconsommateurs.
Et surtout, 96 % des personnes interrogées ont reconnu que leurs dépenses sur le net a peu ou fortement augmenté en 2000 avec en moyenne un budget de 896 dollars pour les américains et 653 dollars pour les non USA, pour les français, ce chiffre s'établissant à 709 dollars.
Les acheteurs accèdent aux sites sur lesquels ils font leurs achats à partir de leur menu « favoris », suivi d'une recherche sur la marque, d'une publicité et l'utilisation d'un moteur de recherche. Le clic sur un bandeau publicitaire ou sur une l'URL à partir d'un e-mail arrivent loin derrière.
Les sites de distributeurs multi-canaux apparaissent comme les sites favoris. A noter qu'Amazon.com arrive en tête dans de nombreux pays.
Voilà des chiffres intéressants, plutôt positifs quant aux perspectives du commerce électronique, chiffres qui devraient peut-être finir par rassurer la communauté financière qui entend tout et son contraire et ne sait plus que croire !
