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Quelques semaines après une hausse significative de la taxe sur le CD-R, Catherine TASCA souhaiterait l'étendre à tous les terminaux capables de lire des oeuvres numériques.
L'industrie musicale va t'elle retrouver le sourire ? Quelques semaines après une hausse significative de la taxe sur le CD-R, destinée à financer les organismes de gestion des droits d'auteurs, victime des nombreuses copies illicites, Catherine TASCA, Ministre de la Culture, souhaiterait l'étendre à tous les terminaux capables de lire des oeuvres numériques. En effet, depuis l'avènement du MP3, la copie n'a plus besoin de K7 ou de CD-Rom et de très nombreux terminaux, à commencer par les PC, les baladeurs numériques, les ordinateurs de poche, et même certains appareils photos ou téléphones sont désormais capables de lire des fichiers numériques, le plus souvent copiés. Le problème est que cette taxe de 30% peut se comprendre pour des CD-R vendus initallement pour moins de 10 francs mais qu'elle devient particulièrement délicate à appliquer pour des PC ou des ordinateurs de poche, vendus plusieurs milliers de francs. La proposition du ministre a donc été particulièrement froidement accueillie par les industriels de l'informatique et par la presse libérale, voyant dans une telle proposition un retour au "protectionisme culturel." du début des années 80, marqué par l'épisode des magnétoscopes japonais, bloqués par les douanes, à Poitier. Tout comme pour les licences UMTS, le gouvernement risque donc à nouveau de déséquilibrer le secteur des NTIC. dommage.
L'industrie musicale va t'elle retrouver le sourire ? Quelques semaines après une hausse significative de la taxe sur le CD-R, destinée à financer les organismes de gestion des droits d'auteurs, victime des nombreuses copies illicites, Catherine TASCA, Ministre de la Culture, souhaiterait l'étendre à tous les terminaux capables de lire des oeuvres numériques. En effet, depuis l'avènement du MP3, la copie n'a plus besoin de K7 ou de CD-Rom et de très nombreux terminaux, à commencer par les PC, les baladeurs numériques, les ordinateurs de poche, et même certains appareils photos ou téléphones sont désormais capables de lire des fichiers numériques, le plus souvent copiés. Le problème est que cette taxe de 30% peut se comprendre pour des CD-R vendus initallement pour moins de 10 francs mais qu'elle devient particulièrement délicate à appliquer pour des PC ou des ordinateurs de poche, vendus plusieurs milliers de francs. La proposition du ministre a donc été particulièrement froidement accueillie par les industriels de l'informatique et par la presse libérale, voyant dans une telle proposition un retour au "protectionisme culturel." du début des années 80, marqué par l'épisode des magnétoscopes japonais, bloqués par les douanes, à Poitier. Tout comme pour les licences UMTS, le gouvernement risque donc à nouveau de déséquilibrer le secteur des NTIC. dommage.
