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Troisième opérateur mobile Français, Bouygues Telecom a décidé de saisir les autorités européennes au sujet du mode d'attribution des licences UMTS en France.
A 32 milliards de francs la licence UMTS, le français Bouygues Telecom est condamné à ouvrir massivement son capital à un gros prédateur européen comme Telecom Italia ou Deutsche Telekom, afin de financer l'acquisition de ce fameux ticket d'entrée vers l'internet mobile à très haut débit. S'estimant lésé face à d'autres pays européens n'ayant pas décidé de vendre ces licences à leurs opérateurs, BoT a donc saisit Bruxelles afin de bénéficier de l'arbitrage de la commission en la matière. Traditionnellement libérale, la commission pourrait peut-être remettre en cause le mode d'attribution de ces licences, qualifié encore récemment d'impôt par Jean Marie Messier, PDG de Vivendi, maison mère de SFR.
A 32 milliards de francs la licence UMTS, le français Bouygues Telecom est condamné à ouvrir massivement son capital à un gros prédateur européen comme Telecom Italia ou Deutsche Telekom, afin de financer l'acquisition de ce fameux ticket d'entrée vers l'internet mobile à très haut débit. S'estimant lésé face à d'autres pays européens n'ayant pas décidé de vendre ces licences à leurs opérateurs, BoT a donc saisit Bruxelles afin de bénéficier de l'arbitrage de la commission en la matière. Traditionnellement libérale, la commission pourrait peut-être remettre en cause le mode d'attribution de ces licences, qualifié encore récemment d'impôt par Jean Marie Messier, PDG de Vivendi, maison mère de SFR.