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Quelques heures après l'annonce du lancement de Wansquare, un titre de presse payant soutenu par le Figaro qui en détient 51%, le quotidien Les Echos a mis en ligne une première version d'un nouveau service en ligne baptisé « Le Crible », du nom de la rubrique de dernière page du journal, qui ouvrira ses portes le 1er octobre prochain.
Il offrira aux abonnés du site la possibilité de recevoir directement sur leur messagerie ou leur téléphone mobile des « Crible », unité d'information financière, « rédigés par une équipe d'éditorialistes et d'analystes qui n'a pas d'équivalent dans la presse française ».
Composée d'éditorialistes, l'équipe promet un morning meeting, des analyses « primeur » en apéritif avant le déjeuner et, le soir, les « Crible » qui paraitront dans la version papier du lendemain, ainsi que des alertes sur les informations phare du monde financier.
A la façon de ce qu'ont fait Bloomberg ou BreakingViews aux Etats-Unis, Les Echos estiment donc possible de monétiser par le biais d'un abonnement un service d'informations ciblées, revendiquant une très haute valeur ajoutée. Le quotidien économique n'a pour l'instant pas dévoilé les modalités d'adhésion au Crible. Wansquare affiche quant à lui un abonnement annuel de 1200 euros.
Reste à savoir si les décideurs abreuvés d'information sauront trouver dans ce nouveau flux très qualifié une raison de le préférer aux sources qu'ils utilisent déjà aujourd'hui.
Il offrira aux abonnés du site la possibilité de recevoir directement sur leur messagerie ou leur téléphone mobile des « Crible », unité d'information financière, « rédigés par une équipe d'éditorialistes et d'analystes qui n'a pas d'équivalent dans la presse française ».
Composée d'éditorialistes, l'équipe promet un morning meeting, des analyses « primeur » en apéritif avant le déjeuner et, le soir, les « Crible » qui paraitront dans la version papier du lendemain, ainsi que des alertes sur les informations phare du monde financier.
A la façon de ce qu'ont fait Bloomberg ou BreakingViews aux Etats-Unis, Les Echos estiment donc possible de monétiser par le biais d'un abonnement un service d'informations ciblées, revendiquant une très haute valeur ajoutée. Le quotidien économique n'a pour l'instant pas dévoilé les modalités d'adhésion au Crible. Wansquare affiche quant à lui un abonnement annuel de 1200 euros.
Reste à savoir si les décideurs abreuvés d'information sauront trouver dans ce nouveau flux très qualifié une raison de le préférer aux sources qu'ils utilisent déjà aujourd'hui.