Test Corsair One i300 : le minuscule PC de Corsair fait encore parler la poudre !

Nerces
Par Nerces, Spécialiste PC & Gaming.
Publié le 06 janvier 2023 à 18h08
© Corsair
© Corsair

La gamme Corsair One représente en quelque sorte le nec plus ultra de ce que peut nous préparer l’Américain en matière d’assemblage de mini-PC. Pour la fin d’année 2022, la société a préparé une nouvelle version de son « prodige », le Corsair One i300 que nous avons pris en main afin de voir ce qu’elle a dans le ventre.

9 /10
Corsair One i300
Aucun prix trouvé sur ce produit.
Les plus
  • Performances de premier plan
  • Élégance et compacité du boîtier
  • CPU, GPU, SSD : la pointe du progrès
  • Wi-Fi 6, Bluetooth 5.0
  • Nuisances sonores contenues
Les moins
  • Le prix... forcément !
  • Évolutivité plutôt limitée
  • Peu de ports sur l'avant

Il y a deux ans de cela, nous avions déjà eu l’occasion de nous pencher sur le cas de ce Corsair One. Il s’agissait alors de la version a100 laquelle se distinguait par l’intégration d’un processeur AMD, en l’occurrence le Ryzen 9 3950X. En 2022, Corsair opère donc un retour vers Intel puisque sur notre i300 c’est un Core i9 qui est intégré. Notons toutefois d’emblée qu’il n’est pas question de la dernière génération Intel : sans doute Corsair a-t-il besoin d’un peu de temps pour trouver comment caser un monstre comme le 13900K dans les 12 litres de son minuscule boîtier.

Fiche technique Corsair One i300

Résumé
ProcesseurIntel Core i9
Taille de la mémoire64Go
Carte graphiqueNVIDIA GeForce RTX 3080 Ti
Processeur
ProcesseurIntel Core i9
Type de processeurIntel Core i9-12900K
Fréquence du processeur3.2GHz
Mémoire vive
Taille de la mémoire64Go
Type de mémoireDDR5
Fréquence(s) Mémoire4,800MHz
Graphismes
Carte graphiqueNVIDIA GeForce RTX 3080 Ti
Mémoire vidéo12Go
VR Ready (réalité virtuelle)Oui
Stockage
Configuration disque(s)SSD
Disque principal2 To
Disque secondaireSans disque secondaire
Connectique
Connecteurs panneau avantPort USB 3.0 (x2), Port USB 3.1 Type C, Port Casque / Micro Jack 3.5mm
Connecteurs panneau arrièrePort USB 3.0, Port USB 3.1 (x2), Thunderbolt 4/USB-C (x2), Port Ethernet, HDMI, Display Port
Réseau sans-fil
BluetoothOui
Version Bluetooth5
Wi-FiOui
Version Wi-Fi6
Caractéristiques physiques
Hauteur380mm
Largeur200mm
Profondeur176mm
Poids7.18kg
De devant ou de derrière, l'élégance reste de mise © Corsair

Une mini-tour toujours aussi élégante…

Si les premiers Corsair One accusent déjà quelques années, la marque reste fidèle au même design. Reconnu pour son élégance, ce dernier n’avait pas de raison de changer pour cette version i300 qui garde donc le format mini-tour compacte. L’emprise au sol est de 200 x 176 millimètres pour une hauteur de 380 mm. Notons en revanche que le poids est en baisse par rapport au a300 testé il y a deux ans : 7,18 kilogrammes aujourd'hui contre 7,38 kg à l'époque.

La façade est particulièrement dépouillée © Nerces

L’élégance de la bête est assurée par ce format extrêmement compact et cette silhouette de petite tour, mais aussi par le choix des couleurs : Corsair conserve l’esthétique sobre des précédents modèles avec une robre presque entièrement noire. Les seules fantaisies que s’est accordé le fabricant : des angles « cassés » pour éviter un aspect trop monolithique et la présence de deux longues bandes de LED placées sur la façade.

La connectique de l'arrière et, surtout, le petit bouton de ClearCMOS © Nerces

Une façade qui n’est guère fournie en connecteurs : 1 combo jack 3,5 mm (casque/micro), 2 USB-A 3.1 Gen 1 et 1 USB-C 3.2 Gen 2. L’arrière est mieux doté : 4 USB-A 3.2 Gen 1, 2 USB-A 3.2 Gen 2, 2 Thunderbolt 4, 1 RJ45 2,5 GbE, 5 jack 3,5 mm, 3 DisplayPort et 1 HDMI. Enfin, les parois du PC sont remarquables par leurs nombreux trous destinés à faire passer l’air aspiré vers l’intérieur du boîtier pour être expulsé via le ventilateur 140 mm situé au sommet. Ce dernier est protégé par un « couvercle » en métal que l’on retire via un bouton poussoir pour démonter la bête.

Les deux panneaux latéraux s'ouvrent assez facilement © Nerces

… à la conception toujours aussi stupéfiante

Nous l’avons dit, le volume du Corsair One n’est que de 12 litres. Le fabricant a bien sûr reconduit toutes ses astuces pour parvenir à loger la configuration évoquée plus haut dans si peu de place. Une fois le « couvercle » retiré, il faut encore débrancher le ventilateur pour ne pas être dérangé et retirer quatre vis avant de soulever légèrement les panneaux latéraux du Corsair One pour les faire basculer et ainsi révéler l’intérieur de la mini-tour.

Pas de jaloux : waterblock sur le CPU et sur le GPU © Nerces

Chacun des deux panneaux accueille donc un radiateur de bonne taille (180 mm côté CPU et 240 mm côté GPU) relié à un waterblock. Sans surprise, on retrouve le logo Corsair sur ces deux pièces, le fabricant ayant repris la structure de ses kits de watercooling. Si le refroidissement du Core i9-12900K ressemble beaucoup à celui du Ryzen 9 3950X, on voit que la GeForce RTX 3080 Ti chauffe davantage que la RTX 2080 Ti du a100 : un ventilateur de plus est mis en place.

Illustration du flux d'air créé par les kits de watercooling et le ventilateur 140 mm © Corsair

Derrière la présence des deux circuits de watercooling, l’idée est d’aboutir à la mise en place de deux chambres distinctes : une pour le CPU, l’autre pour le GPU. La partie basse du boîtier est réservée à l’alimentation qui reste, une fois encore, un modèle Corsair, mais que le fabricant a musclée par rapport au a100 : nous passons à une SF750 certifiée 80 Plus Platinum quand il n’était question que de 600 Watts il y a deux ans. Le SF est pour « SFX » un format d'alimentation plus compact.

Au format SFX, l'alimentation 750 Watts est certificée Platinum © Nerces

De l’agencement des composants internes

La fiche technique et plusieurs points de la description du boîtier nous ont amenés à évoquer les composants ici mis en place par Corsair. Il est important de noter que tous sont finalement des produits que l’on peut trouver quasiment à l’identique dans le commerce. Ainsi, la carte mère au format mini-ITX est un modèle MSI : l’excellente MEG Z690i Unify. Elle dispose d’un chipset Z690 et de deux emplacements pour mémoire DDR5.

La conception interne du Corsair One est un pur bijou © Nerces

Notons que ces deux emplacements sont d’ores et déjà occupés et que, chose surprenante, ils le sont par des barrettes Micron, de la DDR5-4800 en 2x 16 Go. Autre surprise, le SSD n’est pas davantage un modèle Corsair : le fabricant a jeté son dévolu sur un produit estampillé Samsung, le PM9A1 en version 2 To. Il est réputé pour ses excellentes performances, mais aussi pour son échauffement limité et trouve sa place dans de nombreux portables haut de gamme.

Avec une telle machine, facile d'avoir le sourire ! © Corsair

Inutile de revenir sur le cas du processeur – un Intel Core i9-12900K – que nous avons déjà testé dans nos colonnes, mais attardons-nous sur la carte graphique. Corsair a effectivement opté pour ce qui se fait de mieux – ou presque – en génération Ampere avec l'impressionnante GeForce RTX 3080 Ti. Peut-être aurons-nous bientôt un Corsair One en RTX 4000, mais sur une machine d’une telle compacité arriver un loger un monstre comme la 3080 Ti est déjà un miracle.

Qu’est-ce qu’il a dans le ventre ?

Nous avons gardé les réglages par défaut, mais le BIOS de la carte mère MSI MEG Z690i Unify regroupe toutes les options imaginables © Nerces

À la lecture des composants embarqués par Corsair, vous aurez compris que l’objectif du fabricant était aussi de montrer qu’une machine aussi compacte ne nécessitait pas forcément des éléments spécifiquement travaillés pour le projet. Puisque tous ces composants sont bien connus, il ne nous semblait pas utile de nous éterniser sur le côté performances, mais il fallait tout de même vérifier que la promesse de Corsair était tenue.

AIDA 64

Performances observées sur AIDA64 © Nerces

En premier lieu, c’est le sous-système mémoire qui nous intéresse avec ses barrettes de DDR5. Petite déception : si les résultats ne sont pas mauvais, ils sont loin des meilleurs débits relevés en la matière et la latence est dans la moyenne basse. Une explication à cela : sans doute pour préserver la machine, Corsair n’a pas poussé les réglages des composants.

3DMark

Performances observées sur 3DMark © Nerces

Nous enchaînons avec 3DMark sur lequel nous avons fait tourner les deux scènes TimeSpy Extreme et Port Royal. Pas grand-chose à redire, avec 9 453 points sur la première et 12 652 points sur la seconde, nous sommes « dans les clous ». Il va sans dire que la machine ne devrait être en difficulté sur aucun jeu vidéo.

Blender Benchmark

Performances observées sur Blender © Nerces

Les tests se poursuivent avec deux itérations de Blender : la première pour tester le processeur et la seconde pour tester la carte graphique. Cette dernière est évidemment bien plus performante sur le rendu 3D, mais dans un cas comme dans l’autre, les résultats sont conformes aux attentes.

Cinebench R20/R23

Performances observées sur Cinebench R20 © Nerces

Le Core i9-12900K du Corsair One méritait des tests « pour lui tout seul » et le duo Cinebench est là pour ça. Sur le R20, les choses sont étonnantes avec des performances en single thread plus élevées que ce que nous attendions et, en revanche, plus faibles en multi thread, mais rien de dramatique.

Performances observées sur Cinebench R23 © Nerces

Sur Cinebench R23, les résultats sont moins « originaux » et, avec 23 998 points en multi thread ainsi que 1 962 points en single thread, le Core i9 du Corsair One se comporte exactement comme il est supposé le faire.

PCMark

Performances observées sur PCMark © Nerces

Comme toujours, nous utilisons PCMark pour vous donner une idée des performances « globales » de la machine. L’indice général s’établit à 8 583 points et se décompose en 11 238 points pour la partie essentials, 9 381 points sur la productivity et 16 273 points pour le digital content creation. Inutile de dire que le Corsair One i300 pulvérise ici le modèle a100.

CrystalDiskMark

Performances observées sur CrystalDiskMark © Nerces

Alors que nous testons beaucoup de SSD sur Clubic, c’est la première fois que nous disposons du Samsung PM9A1. Son passage sur CrystalDiskMark vient confirmer l’excellente réputation de ce modèle que Samsung a tendance à réserver aux intégrateurs : que l’on parle des débits en Mo/s ou des IOPS, il se classe aisément parmi les meilleurs modèles PCIe 4.0.

Shadow of the Tomb Raider

Performances observées sur Shadow of the Tomb Raider © Nerces

Pour conclure cette partie réservée aux performances, nous avons décidé de faire tourner un jeu un peu ancien, Shadow of the Tomb Raider : il a le mérite d’être utilisé par de nombreux testeurs et vous simplifiera les comparaisons.

Avec une telle configuration, même en 4K détails au maximum, la fluidité ne pose bien sûr aucun problème : 154 images par seconde tout de même !

Échauffement, nuisances et consommation

Compte tenu du volume du Corsair One, les performances ne sont qu’un élément à prendre en compte : l’échauffement est au moins aussi important. Sans surprise, l’i300 monte rapidement en température avec un Core i9 qui atteint un maximum de 91°C et un GPU qui monte jusqu’à 72°C.

À gauche, les mesures au repos et, à droite, en charge © Nerces

Notez toutefois que sur la carte graphique, la mémoire grimpe jusqu’à 96°C. Cela dit, tout reste dans les normes pour de tels composants et le throttling ne s’est jamais invité à la fête. En revanche, l’air chaud qui se dégage du haut de la tour a frôlé les 50°C et nous ne sommes pas en plein été. Enfin, sur les tâches les plus légères, la ventilation est inaudible (le 140 mm est même coupé) : en revanche, le PC se fait entendre, mais le bruit est plutôt sourd et, finalement, pas bien gênant.

Accompagnement logiciel

Corsair Diagnostics rassemble pas mal d'outils bien pratiques © Nerces

Avant de conclure sur ce Corsair One i300, faisons un petit tour sur l’accompagnement logiciel. Nous l’avons dit, Windows 11 est de la partie, mais de manière étonnante aucun autre logiciel « majeur » n’est au programme : pas de suite bureautique ou d’encombrant partenariat « de sécurité ». Corsair préfère mettre l’accent sur ses solutions avec le Corsair Diagnostics qui permet, comme son nom l’indique, d’établir un diagnostic de la machine.

iCUE reste l'inévitable logiciel de gestion des LED chez Corsair © Nerces

Rien d’extraordinaire, mais c’est un bon moyen de faire le point sur le PC. De plus, l’interface est claire et de nombreuses explications intégrées. À côté, Corsair livre son iCUE. Là, nous sommes plus partagés. Avec le temps, le soft s’est amélioré, mais nous ne le trouvons pas toujours clair. Cela dit, sur le Corsair One, il sert principalement à gérer les LED pour les harmoniser avec celles d'autres composants RVB ou pour les faire réagir à la température du CPU par exemple.

Une merveille, hors de prix certes, mais une merveille malgré tout © Nerces

Corsair One i300, l’avis de Clubic

Conclusion
Note générale
9 / 10

Sans surprise, malgré ses qualités, le Corsair One i300 ne peut faire oublier son colossal défaut : à plus de 5 000 euros la configuration testée, il va sans dire que la bête restera un rêve inaccessible pour la majorité d’entre nous. Cela dit, pour que le rêve soit complet, il ne suffit pas d’aligner les zéros et de présenter une fiche technique délirante, il faut aussi savoir organiser tout ça.

Vous l’aurez compris, c’est une réussite. Les composants sont donc une succession de références dans leur domaine respectif depuis le processeur Intel jusqu’au SSD Samsung en passant par la carte mère MSI, la carte graphique NVIDIA ou l’alimentation Corsair et la mémoire Micron. Mais au-delà, c’est la conception du Corsair One qui laisse sans voix. Le boîtier de 12 litres est suffisant pour faire cohabiter ce petit monde grâce au génie des designeurs qui usent magistralement du watercooling.

Bien sûr, l’échauffement de la configuration est important, mais nous restons dans les limites prévues pour ces composants et les nuisances sonores sont mesurées. Mieux, malgré la complexité de la bête, de nombreux éléments restent accessibles. Voilà, l’investissement de 5 000 euros a un côté surréaliste, mais que le résultat est flatteur. Un remarquable travail ou plutôt, une remarquable vitrine technologique.

Les plus
  • Performances de premier plan
  • Élégance et compacité du boîtier
  • CPU, GPU, SSD : la pointe du progrès
  • Wi-Fi 6, Bluetooth 5.0
  • Nuisances sonores contenues
Les moins
  • Le prix... forcément !
  • Évolutivité plutôt limitée
  • Peu de ports sur l'avant
Par Nerces
Spécialiste PC & Gaming

Tombé dans le jeu vidéo à une époque où il fallait une belle imagination pour voir ici un match de foot, là un combat de tanks dans ces quelques barres représentées à l'écran, j'ai suivi toutes les évolutions depuis quarante ans. Fidèle du PC, mais adepte de tous les genres, je n'ai du mal qu'avec les JRPG. Sinon, de la stratégie tour par tour la plus aride au FPS le plus spectaculaire en passant par les simulations sportives ou les jeux musicaux, je me fais à tout... avec une préférence pour la gestion et les jeux combinant plusieurs styles. Mon panthéon du jeu vidéo se composerait de trois séries : Elite, Civilization et Max Payne.

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Commentaires (10)
fg03

Si la machine est une merveille d’ingénierie alors Corsair n’a qu’à proposer son boitier seul car le reste est très standardisé au niveau des formats et on pourra se faire une belle config à moindre coût.

Sampro

Quand vous dîtes minuscule PC vous plaisantez ou vous oublié, c’est PC n’es pas minuscule du tout. Le format est déjà standard même les NUC Intel sont petits

Felaz

C’est quand même un sacré budget !

Ironkatana

Pour ce prix tu as beaucoup mieux avec écran
Faut être mazo pour acheter un pc non évolutif a ce prix là
Il finirat pas chauffer
Il faudrait mettre la clim pour jouer cet etée
Du grand n importe quoi

Nerces

Toujours sympa cette façon de commenter :frowning: Non, je ne plaisante pas et non, je n’oublie rien : minuscule par rapport à ce qu’il y a dedans bien sûr :slight_smile:

Nerces

Faut pas pousser non plus, mais c’est sûr que le prix est bien plus gênant que sur le précédent modèle que nous testions. Corsair aurait dû le faire au moins 1 000 euros moins cher.

Ccts

Aujourd’hui ça fait cher pour du 3080. Ça reste un beau bébé d’ingénieur. Bien pensé mais au final ça s’adresse à qui ? C’est pas évolutif ou peu, ce n’est pas si petit et c’est très cher. Tu veux de l’évolutivité … fait une tour, en micro atx… tu veux que ça prenne pas de place quitte a pas être évolutif ? Prend un portable très musclé et une base…un beau razer blade ou Alienware… ou autre. Ça me rappelle toujours mon shuttle xpc…qui était bien moins cher.

bmustang

pas de double port RJ ? c’est dommage

louchi

Mais non, voyons…tu paies en 2x, et ça roule :wink: ça se voit même pas sur le compte.

SPH

Il est un petit peu cher mais je l’achèterais bien. Chaque caractéristique m’a impressionné :

  • je pensais a un SSD 1To : Boom, 2To
  • 32Go de mem : boom, 64
  • une 3070 : boom, une 3080

Pas évolutif disent certains ?!
=> il est déja évolué. Pas besoin d’y toucher… :hugs: