SFR a annoncé la semaine dernière le lancement d'une offre d'accès à Internet fixe en 4G, baptisée 4G Connect.
SFR répond à Bouygues Telecom et à l'offre que sa branche Entreprises a lancée en janvier dernier. Il offre à son tour une alternative au DSL, à la fibre optique et même au satellite, en premier lieu pour des raccordements temporaires. Il propose pour ce faire un routeur 4G, le même que son concurrent, associé à un forfait Internet de 50 Go/mois.
L'offre est donc destinée principalement aux besoins ponctuels, dans l'attente d'un raccordement DSL ou fibre lors d'un emménagement par exemple, lors d'un salon, d'un évènement, ou sur un chantier. Elle emprunte effectivement le réseau cellulaire, pouvant atteindre 115 Mb/s en 4G ou 42 Mb/s en 3G, et ne requiert à ce titre qu'une alimentation électrique. Le routeur intègre un switch Ethernet à 4 ports et un point d'accès Wi-Fi pouvant connecter un maximum de 32 dispositifs.
Pour autant, l'offre convient également au raccordement permanent, pour des sites sur lesquels les autres moyens de connexion sont moins satisfaisants. Dans ce cas des tarifs dégressifs sont proposés, de 125 à 99 euros HT/mois, en fonction de la durée d'engagement.
En tout cas, pour se démarquer de Bouygues Telecom, SFR met en avant la compatibilité VPN et son service Proxy Cloud, qui permet de contrôler et de filtrer les usages d'Internet, ce qui est particulièrement utile avec un trafic limité. Au-delà de 50 Go la connexion est d'ailleurs bridée, à un débit non précisé, et non facturée en supplément.
L'offre 4G Connect de SFR est accessible dès à présent au travers de la branche Business Team de l'opérateur. Pour l'heure elle est réservée aux professionnels. Les particuliers quant à eux peuvent acquérir un routeur 4G comme le D-Link DWR-116 et souscrire une offre d'Internet mobile comme l'offre Bbox Nomad de 32 Go.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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