Une semaine après avoir lancé un ordinateur miniature intéressant permettant de jouer confortablement, Zotac annonce aujourd'hui dans le cadre du Computex des Zbox passifs.
Le pionnier de l'ordinateur miniature, qui s'est récemment fait voler la vedette par Intel et Gigabyte, reprend finalement l'ascendant avec un digne concurrent des gammes NUC et Brix. Il lance effectivement une nouvelle série C, qui présente l'intérêt de se contenter d'un refroidissement passif.
Pour ce faire, ces Zbox inaugurent un châssis ajouré dérivé du châssis nano existant. La chaleur dégagée par tous les composants s'échappe naturellement par presque toutes les faces, sans l'aide d'un ventilateur. La machine est donc parfaitement silencieuse, à moins qu'elle ne soit équipée d'un disque dur, qui reste toutefois très discret.
Zotac a malgré tout dû choisir des processeurs à très basse consommation. Il propose quatre configurations :
Zbox nano CA320 : AMD A6-1450 (quadricœur cadencé de 1 à 1,4 GHz)
Zbox nano CI320 : Intel Celeron N2930 (Bay Trail quadricœur cadencé de 1,83 à 2,16 GHz)
Zbox nano CI540 : Intel Core i5-4210Y (Haswell bicœur cadencé de 1,5 à 1,9 GHz)
Ce ne sont certes pas des foudres de guerre, mais pour l'usage multimédia auquel se destinent de telles machines miniatures et silencieuses, ils font aussi bien que les processeurs plus performants des NUC et Brix, qui requièrent quant à eux une ventilation.
Comme d'habitude avec les Zbox, on trouve un emplacement SODIMM pour mémoire vive DDR3L, un emplacement pour un disque dur ou un SSD Serial ATA au format 2,5 pouces et une connectique riche. Il y a au moins six ports USB, dont au moins deux USB 3.0, un lecteur de carte mémoire SD, une sortie HDMI, une sortie DisplayPort, une sortie SPDIF, du Bluetooth 4.0 et du Wi-Fi 802.11ac.
Ces quatre Zbox nano série C de Zotac seront disponibles à une date inconnue pour respectivement 190, 130, 250 et 340 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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