A Moon Shaped Pool. C'est le titre de l'album que Radiohead a sorti dimanche, comme prévu.
Radiohead aura rapidement mis un terme à la campagne de promotion amorcée le 1er mai. En une semaine, le groupe a disparu d'internet, supprimant des années de publications sur les réseaux sociaux, puis publié jour après jour deux singles et deux clips vidéo, extraits du nouvel album.
Le neuvième album de Radiohead, intitulé A Moon Shaped Pool, est finalement sorti ce dimanche 8 mai à 20 h.
Thom Yorke et son groupe s'illustrent une nouvelle fois par leurs modes de distribution. Après avoir popularisé l'album à prix libre en 2007 puis avoir distribué le premier bundle BitTorrent payant, ils proposent cette fois aux fans d'acquérir un morceau unique de séance d'enregistrement.
À l'opposé des précédentes opérations portant sur du dématérialisé, le groupe commercialise une édition spéciale incluant - en plus de deux vinyles, de deux CD et d'un livre de 32 pages d'illustrations - un véritable fragment de bande d'une séance d'enregistrement. Chaque morceau dure trois quarts de seconde et provient de n'importe quel album depuis Kid A. Les fans parviendront-ils à mutualiser leurs extraits et à reconstituer des enregistrements inédits ?
Pour autant, les 11 titres du dernier album sont disponible en avant-première en dématérialisé. L'album est vendu 12 euros sur l'iTunes Store, mais il est aussi et surtout distribué directement par le groupe, au prix de 11,50 euros en MP3 320 kbps, de 14 euros en WAV 16 bits et de 16,50 euros en WAV 24 bits (haute résolution).
Il est disponible sur les plateformes de musique à la demande Apple Music et Tidal, mais pas sur Spotify, contre lequel Thom Yorke et son manager Nigel Godrich protestent depuis quelques années, en soutien aux nouveaux artistes qui n'y sont quasi pas rémunérés.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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