Liseuse électronique

Les premières offres permettant aux mobinautes disposant d'un iPhone d'accéder à un catalogue de livres numériques - en français - commencent à être disponibles.

10 ans après l'échec d'une première génération de terminaux de lecture (liseuses) de livres électroniques (livrel), la seconde génération de tablettes, basées sur l'encre électronique, connaît des fortunes diverses.

Près d'un an et demi après la sortie du premier livre numérique d'Amazon, le Kindle, le géant américain de la vente de livres en ligne, s'attaque désormais au marché de la téléphonie mobile.

Les livres numériques se multiplient. Qu'ils soient proposés par des opérateurs (Orange Read & Go, e-Book de SFR) ou des marques tierces (eRex des Echos, Reader de Sony, Kindle d'Amazon, Cybook Gen3 de Booken), ils commencent à s'inviter dans les poches des mobinautes pour un prix d'environ 300 euros.

C'est sous le haut patronage de Stephen King que le cyber-marchand Amazon a officiellement présenté lundi le Kindle 2, nouvelle version de son livre électronique, plus fin et censément plus confortable que son prédécesseur, apparu fin 2007. Équipé de 2 Go de mémoire, il permet d'embarquer quelque 1.500 livres, et offre maintenant la possibilité de lire des fichiers audio MP3, ainsi que des documents PDF, DOC et des images.

Amazon.com, marchand du culturel devenu supermarché en ligne, devrait sortir la v2 du Kindle, son lecteur d'e-books, le 24 février prochain outre-Atlantique.

Google Book Search s'invite en version mobile. Google vient d'annoncer la sortie d'un nouveau service mobile de la marque optimisé pour les smartphones dotés d'un écran tactile ou non et les iPhone et iPod Touch d'Apple.

Deux ans tout juste après le rachat de 49,5% du capital de Chapitre.com, le puissant groupe allemand Bertelsmann a décidé de prendre le contrôle total de la librairie en ligne dont il vient de racheter les autres 50,5%, pour un montant non communiqué.

Bonne nouvelle pour la bibliothèque numérique européenne: victime de son succès, elle a dû fermer dès son ouverture. Attendu depuis deux ans, ce service pensé dans le but de « préserver l'identité culturelle et le patrimoine de l'Europe », aurait enregistré près de « dix millions de clics par heure », d'après Viviane Reding, la commissaire européenne chargée de la société de l'information et des médias.

Les offres de livres numériques se multiplient. Après le Kindle d'Amazon, le Read&Go d'Orange, l'e-Book de SFR, les STAReBook Stareread / iLiad iRex des Echos ou le Reader de Sony, c'est un nouveau terminal de ce type optimisé pour la lecture de journaux ou de livres électroniques qui s'invite dans l'Hexagone.

En attendant que le papier électronique passe à la couleur, Sony fait évoluer sa gamme de livres électroniques (ou eReader) en présentant le PRS-700. Ce dernier se démarque de ses prédécesseurs par la présence d'une surcouche tactile.

Samsung a dévoilé un premier prototype de papier électronique couleur. Les lecteurs de livres électroniques actuellement commercialisés se contentent pour le moment d'affichages à encre électronique monochrome.

PDG et fondateur de Chapitre.com, une librairie « clic and mortar », Juan Pirlot de Corbion profite de ses premières expérimentations de téléchargement de livres numériques pour partager son analyse sur ce nouveau format...

Y-a-t-il un marché pour le livre électronique ? Après un lancement aux Etats Unis et au Canada puis, plus récemment, au Royaume Uni, le « Reader », premier livre électronique signé Sony, se prépare à faire son entrée en France. Afin de préparer au mieux le terrain pour ce nouvel appareil d'un genre encore peu usité en France, Sony a choisi de s'adosser à deux partenaires exclusifs. Le premier est la Fnac, qui assurera la commercialisation de l'appareil dans ses boutiques et sur son site, ainsi que la distribution en ligne des ouvrages numériques fournis par le second, le groupe Hachette. Cette exclusivité court pour une période de six mois à l'issue de laquelle Sony espère avoir pu jauger le potentiel de ce marché dans l'Hexagone et éventuellement envisager de le proposer à d'autres distributeurs, cybermarchands ou chaines spécialisées dans l'électronique grand public.

Y-a-t-il un marché pour le livre électronique ? Après un lancement aux Etats-Unis et au Canada puis, plus récemment, au Royaume Uni, le « Reader », premier livre électronique signé Sony, se préparer à faire son entrée en France. Afin de préparer au mieux le terrain pour ce nouvel appareil d'un genre encore peu usité en France, Sony a choisi de s'adosser à deux partenaires exclusifs. Le premier est la Fnac, qui assurera la commercialisation de l'appareil dans ses boutiques et sur son site, ainsi que la distribution en ligne des ouvrages numériques fournis par le second, le groupe Hachette. Cette exclusivité court pour une période de six mois à l'issue de laquelle Sony espère avoir pu jauger le potentiel de ce marché dans l'Hexagone et éventuellement envisager de le proposer à d'autres distributeurs, cybermarchands ou chaines spécialisées dans l'électronique grand public.

A l'heure où les Etats-Unis s'apprêtent à élire leur 44ème président, Amazon passe un accord exclusif avec Lyons Press (Globe Pequot Press) pour imposer son Kindle. L'objectif du marchand ? Proposer en avant-première aux utilisateurs de son lecteur de e-books les biographies électroniques des deux premières dames potentielles : Michelle Obama et Cindy McCain.

Gourmand Amazon ! Après avoir racheté AbeBooks, le marchand du culturel serait sur le point d'acquérir le réseau social Shelfari, rapporte le Seattle Post-Intelligencer dans son édition du 25 août 2008, en référence « à des sources proches du dossier ».

Champion du livre électronique grâce à sa bibliothèque Mobipocket et surtout à son Kindle, un terminal de lecture avec papier électronique déjà écoulé à près de 250 000 exemplaires, le groupe Amazon serait désormais sur le point de s'attaquer au lucratif marché du livre universitaire.

L'Europe n'entend pas laisser à Google ou Amazon le soin de numériser son patrimoine. A l'occasion d'une conférence de presse, viviane-reding, la commissaire européenne chargée de la Société de l'information et des Médias, a annoncé que Europeana.eu, le projet de bibliothèque numérique européenne, devrait officiellement ouvrir ses portes dès le mois de Novembre.

Grand écart pour Amazon ? Tandis que Techcrunch révèle que le groupe américain aurait déjà écoulé plus de 240 000 Kindle, son tout nouveau terminal de lecture de papier électronique, la société dirigée par Jeff Bezos n'oublie pas pour autant les livres anciens et vient d'officialiser le rachat de AbeBooks.

Concepteur du Cybook, un écran à encre électronique déjà vendu à plusieurs milliers d'exemplaires, la jeune pousse Bookeen s'est associée à TiteLive, un prestataire de services pour libraires, afin de dématérialiser partiellement ... la rentrée littéraire.

A la demande en février dernier de Christine Albanel, la ministre de la Culture, le PDG de Télérama et du Monde interactif, Bruno Patino, a remis la semaine dernière au gouvernement son rapport sur l'avenir du livre numérique. Premier constat : personne ne peux prédire si le livre numérique « va avoir une très grande utilisation, mais on ne peut pas l'écarter, donc il faut s'y préparer », commence-t-il par déclarer.

Les livres numériques pour doper les usages de la 3G chez les opérateurs mobiles ? Trois mois après le début de la phase d'expérimentation du « Read&Go », un livre numérique signé Orange qui permettait de lire ses principaux journaux et quelques bandes dessinées, SFR propose un terminal similaire nommé sobrement « e-Book SFR ».

Quelques semaines après Orange et son « read&go », c'est au tour de son concurrent SFR de dévoiler son propre lecteur de livres électroniques (livrel).

La société taïwanaise Netronix estime que Taïwan a un rôle à jouer dans les développement du phénomène e-book, ou livre électronique, et se consacre l'élaboration de modèles capables de venir concurrencer les appareils de Sony ou iRex. L'objectif, pour elle, est dans un premier temps d'offrir des livres électroniques de qualité équivalente à celle de la concurrence, avant de négocier d'importants volumes pour pouvoir casser les prix et participer à leur démocratisation. Leur premier modèle, baptisé « My e-Book », est aujourd'hui proposé à 200 dollars pour mille unités, soit un prix public d'au moins 300 ou 350 dollars. Mais demain ?

La course au tout numérique continue. L'éditeur Hachette Livre, propriété du Groupe Lagardère, a annoncé, mardi 6 mai, la signature d'un accord visant à acquérir la bibliothèque numérique Numilog. De par ce rachat Hachette Livre poursuit une stratégie de diversification de ses supports.

Près d'un an après le quotidien LesEchos, c'est au tour de l'opérateur Orange de se lancer sur le marché des livres électroniques (livrels) avec une expérimentation baptisée « Read&Go », combinant le terminal de lecture iRex d'iLiad (technologie d'écran e-ink), un kiosque logiciel donnant accès à différents livres, BD (Dargaud, Dupuis, Lombard et Kana) et titres de presse (Le Monde, Le Parisien, L'Equipe, Télérama, LesEchos) et s'appuyant sur une connectique combinant WiFi et... 3G, téléchargeant automatiquement les dernières mises à jour.

40 euros pour devenir immortel ? Plus de huit ans après sa création en 1999 par Libri GmbH, la société allemande Books On Demand (www.BOD.fr) profite de l'organisation du salon du livre de Paris pour annoncer le lancement en France d'un nouveau service d'impression de livres à la demande.

Alors que les livres numériques sont déjà commercialisés depuis quelques années, notamment avec le Reader de Sony, le Kindle d'Amazon ou le Gen3 de Cybook, ce sont prochainement des livres numériques à écran souple qui vont s'inviter dans les poches de mobinautes. Et à l'occasion du salon Mobile World Congress de Barcelone, c'est un nouveau produit de ce type qui a officiellement été présenté.