TomTom a publié hier une mise à jour de son application de guidage routier pour iPhone et iPad. Relativement mineure, elle rend tout de même gratuites les alertes de radars fixes, appelées « zones de danger » en France.
Avertisseur de radars fixes gratuit
TomTom peaufine peu à peu la fonction avertisseur de radars de son application iOS, suite au durcissement de la loi encadrant ce type de services. TomTom avait supprimé la fonction un peu plus de quatre mois, avant de rétablir un service conforme entièrement payant, pour ce qu'il convient désormais d'appeler en France les zones de danger (contenant ou non un radar fixe) et les zones à risque (contenant ou non un radar mobile).
Mais à partir de la version 1.13, le service « zones de danger » est gratuit et accessible à tous les automobilistes empruntant les routes de France. Les utilisateurs de terminaux iOS se retrouvent donc logés à la même enseigne que les utilisateurs de GPS autonomes ou de première monte, si ce n'est que la base de données sera ici mise à jour automatiquement.
Le service d'alerte de radars mobiles, appelé « zones de danger en temps réel » en France, reste disponible en option, pour 1,80 euro pour un mois ou 19 euros pour un an.
Améliorations mineures
TomTom 1.13 apporte également quelques améliorations plus anecdotiques.
L'application est désormais compatible avec l'iPad Mini, qui se prête nettement plus au guidage routier que l'iPad original. Dans le même ordre d'idée, l'application peut désormais sauvegarder et restaurer les réglages de l'utilisateur via iCloud, ce qui permet par exemple de répliquer les réglages d'un iPhone vers un iPad, et vice versa.
Comme d'habitude, la nouvelle version apporte également une mise à jour de la cartographie. TomTom rappelle à ce titre que 15 % du réseau routier est modifié chaque année.
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Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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