SanDisk renouvelle sa clé USB Wi-Fi en lançant le Connect Wireless Stick, une modeste mise à jour qui la rend plus petite et plus performante.
SanDisk annonce qu'il « réinvente le stockage mobile » avec une nouvelle clé USB. On a rarement vu une affirmation aussi présomptueuse, mais la dernière nouveauté du numéro un de la mémoire flash n'est pas inintéressante pour autant. Avec le SanDisk Connect Wireless Stick, le fabricant modernise avantageusement ses supports de stockage Wi-Fi pour terminaux mobiles.
Le SanDisk Connect Wireless Stick est comme son nom l'indique une clé USB sans fil et connectée. C'est en réalité une évolution rapetissée et améliorée du Wireless Flash Drive lancé il y a deux ans.
Le nouveau modèle est un peu plus petit, plus sobre. Mais le port USB n'est plus escamotable, il est recouvert d'un capuchon qu'on ne peut pas fixer à la clé lorsqu'elle est branchée et qu'on risque donc fort de perdre.
En outre, la capacité maximale a été doublée et portée à 128 Go. Mais l'appareil s'en tient à l'USB 2.0, un comble en 2015, et les taux de transfert ne sont pas communiqués, ni en USB, ni en Wi-Fi Direct (standard 802.11n). Sa batterie lui confère une autonomie de 4,5 heures de diffusion, en hausse d'une demi-heure par rapport au modèle précédent.
Le nouveau produit s'accompagne aussi et surtout d'une nouvelle application plus intuitive, dont on ne sait malheureusement pas grand-chose d'autre. Elle semble reprendre les fonctions de l'application existante : le transfert et la diffusion de fichiers de toutes sortes (y compris de certains MKV), ainsi que la sauvegarde automatique des photos, des vidéos ou encore des contacts. On ne sait pas si elle sera réservée au nouveau modèle ou si elle sera compatible avec toute la gamme SanDisk Connect.
Le SanDisk Connect Wireless Stick sera disponible en France ces prochaines semaines auprès des principaux revendeurs. Il sera proposé en versions 16 Go, 32 Go, 64 Go et 128 Go, pour 37 à 100 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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