Samsung lance de nouvelles cartes mémoires étanches, à la fois plus résistantes et plus performantes que leurs prédécesseurs.
Premier fournisseur mondial de mémoire flash, Samsung vend directement ses propres cartes mémoires depuis peu. Encore en retrait face à ses principaux rivaux SanDisk et Lexar (filiale de Micron), le fabricant prend un nouvel élan avec le renouvellement de sa gamme de cartes SD et microSD.
Samsung a effectivement annoncé cette semaine le lancement des séries Evo Plus et Pro Plus, toutes deux déclinées en SD comme en microSD. Pour se démarquer sur ce marché qui ne laisse pas beaucoup de place à l'innovation, Samsung reconduit sa promesse « 5 proof » : ses cartes mémoires résistent naturellement aux chocs, mais aussi à l'eau, aux températures extrêmes (de -40 à 85°C), aux champs magnétiques (15 000 gauss) et même aux rayons X (aux aéroports). Elles peuvent plus précisément rester immergées 72 h, au lieu de 24 h pour leurs devancières.
Les deux nouvelles séries complètent celles lancées il y a un an, la nouvelle gamme s'établit donc comme suit :
Evo : UHS-I Speed Class 1 et Class 10, 50 Mo/s en lecture et au moins 10 Mo/s en écriture
Evo Plus : UHS-I Speed Class 1 et Class 10, 80 Mo/s en lecture et 20 Mo/s en écriture
Pro : UHS-I Speed Class 1 et Class 10, 90 Mo/s en lecture et 80 Mo/s en écriture (sauf 16 Go, 50 Mo/s en écriture)
Pro Plus : UHS-I Speed Class 3 et Class 10, 95 Mo/s en lecture et 90 Mo/s en écriture
Les nouvelles séries revendiquent les mêmes prestations au format SD ou microSD. La série Evo Plus est déclinée en 32, 64 et 128 Go. La série Pro Plus uniquement en 32 et 64 Go.
Les cartes SD et microSD Samsung Evo Plus et Pro Plus seront mises en vente dans le monde entier d'ici la fin du mois de mai. Aucun prix n'est communiqué, mais pour se faire une place face à ses concurrents historiques, Samsung pratique habituellement des tarifs inférieurs.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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