L'opérateur de télécommunications globales Inmarsat a récemment dévoilé ce qu'il présente comme la nouvelle génération de téléphones par satellite.
170 x 75 x 36 mm pour 318 g
Inmarsat a présenté lundi l'IsatPhone 2, un nouveau téléphone mobile par satellite accueillant plusieurs innovations qui le rapprochent encore un peu plus d'un téléphone cellulaire conventionnel (GSM).
Connecté de n'importe quel point du globe (sauf des pôles) à l'un des trois satellites géostationnaires de la constellation Inmarsat-4 (à la seule condition d'avoir vue sur le ciel), ce nouveau téléphone satellitaire peut pour commencer recevoir des appels même lorsque son antenne est repliée. Ce n'est pas rien puisque combinée à un temps de connexion raccourci (désormais moins de 45 s), cette fonction permet de recevoir des appels non planifiés, sans rendez-vous.
Par rapport à l'IsatPhone Pro le fabricant a également considérablement amélioré l'autonomie en veille, qui passe de 100 à 160 h (près de 7 jours). L'autonomie en appel reste de 8 h. L'IsatPhone 2 accueille ainsi une fonction de suivi de position GPS en temps réel, accessible à tout moment sur une carte par des collaborateurs et/ou des proches. Elle complète les fonctions existantes d'alerte d'urgence et d'envoi ponctuel de coordonnées par SMS ou par email.
Le nouvel IsatPhone a enfin été renforcé puisqu'il bénéficie d'un écran en verre Corning Gorilla Glass et passe aux indices de protection IK04 et IP65. Il résiste aux chutes (de 0,5 joules), aux projections d'eau et est étanche à la poussière.
L'IsatPhone 2 est disponible en précommande au prix public de 890 euros. Puis une multitude de prestations prépayées sont proposées, avec lesquelles les appels sont facturés dégressivement de 1,96 à 0,81 euro/min. Ce téléphone satellitaire peut donc équiper des salariés dans l'industrie comme des particuliers sur leurs voiliers de croisière.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
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