Futuremark vient finalement de lancer « 3DMark 11 », la nouvelle version de son benchmark pour carte graphique. L'éditeur met ainsi un terme à un long développement, parsemé de multiplesdémonstrations, avec un peu de retard.
« 3DMark 11 », avec le onze de l'année 2011, mais aussi et surtout le onze de DirectX 11. Ce « test de performance DirectX 11 pour joueur » repose effectivement sur un moteur DirectX 11 et pousse dans leurs derniers retranchements les cartes graphiques de dernière génération. Pour ce faire, il use et abuse de la tesselation, cette fonction permettant d'augmenter le détail géométrique en subdivisant des faces, mais aussi de DirectCompute, confiant au GPU toutes sortes de calculs.
Le dernier né de Futuremark se contente ainsi de deux scènes, baptisées « Deep Sea » et « High Temple », et d'une batterie de six tests.
« 3DMark 11 » est décliné en trois éditions. La « Basic Edition » est gratuite mais est restreinte au profil performance. L'« Advanced Edition », facturée 19,95 dollars, permet quant à elle des réglages personnalisés, le lancement des tests de son choix en boucle et la gestion des résultats en ligne ou hors ligne. La « Professional Edition », autorise enfin l'usage commercial, l'intégration à un protocole de test au moyen de la ligne de commande et un support prioritaire pour la modique somme de 995 dollars.
Il requiert donc une carte graphique prenant en charge DirectX 11, c'est-à-dire une AMD Radeon HD de la série 5000 ou 6000, ou une NVIDIA GeForce de la série 400 ou 500. Ceux qui n'en disposent pas pourront se consoler avec les vidéos Full HD des deux scènes et des six tests.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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