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Depuis son invention dans les années 60, la technologie utilisée dans nos souris avait peu changée, les fabricants restant fidèles à la bonne vieille boule. Avec l'IntelliMouse Explorer, Microsoft innove en supprimant totalement le coté "mécanique" du périphérique grâce à sa technologie appelée IntelliEye.
Quelques mois après sa sortie, Abit lance aujourd'hui l'évolution de la BE6 : la BE6 2.0 qui est une sorte de fusion entre la BE6 (prèmiere carte mère à intégrer l'UDMA 66) et de la toute nouvelle BF6 (cf test) . Mais que vaut cette nouvelle carte mère qui met une fois de plus le chipsetBX à contribution? Réponse dans ce test!
Le marché des Cartes mères est en pleine transition. Le BX, qui a fait son temps est relégué à la deuxième place depuis la sortie du chipset i820 par Intel. La carte mère P3C 2000 est la première i820 disponible en France : détronera-t-elle toutes les cartes mères à base de BX ?
Le chipset TNT2 a depuis sa sortie fait ses preuves : principales fonctions 3D supportées, excellentes performances, pilotes murs. Si sa réputation n'est plus à faire, il en va autrement pour les cartes intégrant ce chipset. NVidia ne commercialisant que le processeur graphique, la compagnie laisse aux intégrateurs la conception des cartes à proprement parler. Devant le nombre de cartes du marché, certaines se démarquent comme la Gigabyte GA-660.
Le marché des Cartes Graphiques est le domaine le plus concurrentiel ses derniers temps. Les techniques évoluent très rapidement et une nouvelle génération apparaît tous les six mois. Il est clair que si l'on ne suit pas régulièrement l'actualité graphique on se retrouve rapidement à la traîne.
Après le rachat de STB, 3DFX possède les moyens de contrôler pratiquement toutes les étapes de production d'une carte 3D : fabrication du chip, commercialisation... Jusque là, la société se contentait de produire le chip et le vendait ensuite aux compagnies. C'est pourquoi toutes les cartes équipées d'un même chipset ont des performances globalement proches, le peu d'écart les séparant étant du aux Drivers, BIOS et à la mémoire utilisés. Si les intégrateurs se contentent généralement de quelques modifications ce n'est pas le cas de Metabyte qui apporte son lot de nouveautés.
Le Celeron jouit d'une excellente réputation dans le domaine de l'overclocking.
Voici donc le dernier processeur made by Intel : le Pentium III. Celui-ci successeur de PII (si, si :) ) se caractérise de ce dernier par l'ajout de nouvelles instructions. Et là, on ne peut s'empêcher de penser que cela fait depuis la sortie de Pentium Pro qu'Intel ne nous a pas sorti de véritable révolution dans le domaine des Processeurs. Ainsi, on est passé du Pentium Pro au PII en plaçant à l'extérieur la cache du processeur, et du PII au PIII en rajoutant les instructions SSE. Rien d'extraordinaire en apparence : pas de quoi appeler ce processeur un Pentium III. Remarquez, tout le monde se met au 3 : AMD appelle 3ème version un processeur où l'on a juste rajouté 256 Ko de cache... En clair, le nom du processeur ne veut absolument plus rien dire : marketing quand tu nous tiens ! :) J'oubliais : le processeur Pentium III utilise une nouvelle cartouche, la SECC 2. Par rapport aux cartouches des premiers Pentium II, la SECC 1, la deuxième offre une meilleure ventilation car le processeur est directement en contact avec le radiateur. Enfin, plus petite, la cartouche est aussi moins chère donc... des coûts de production réduits.
Un Peu d'Histoire(s)Les premiers Celerons avaient beaucoup fait parler d'eux, en effet ce qui permettait aux Pentiums II d'obtenir d'aussi bonnes performances, à savoir la cache L2, leur avait été tout bonnement supprimé. Au final on se retrouvait avec un processeur qui allait moins vite qu'un Pentium 233MMX à 300MHz pour les taches bureautiques et presque aussi vite qu'un PII en ce qui concernait les calculs FPU. Son avantage venait de sa technologie de gravure : étant gravé en 0.25 micron il était facilement overclockable.
Jusqu'à présent la fameuse loi de Moore qui dit que la puissance de calcul double tous les 18 mois a toujours été vérifiée. Chaque nouvelle génération de processeur est ainsi cadencée plus vite, avec une technologie de gravure plus petite et un nombre de transistors toujours plus grand : on est ainsi passé du 4004 d'Intel en 1971 à 2300 transistors au Pentium II actuel en comprenant la bagatelle de 7.5 millions. Malheureusement le processus de fabrication des puces n'a pas changé depuis que Von Neumann en définisse le principe dans les années 40. Ainsi on grave toujours plus fin pour augmenter la fréquence et nous en sommes aujourd'hui à une gravure en 0.25 micron. Mais ce modèle atteindra vraisemblablement ses limites en 2014, les Processeurs seront alors cadencés à 30 GHz.