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Le Centre de Calcul Recherche et Technologie (CCRT) vient de commander à un supercalculateur d'une puissance de plus de 43 teraflops
La France rattrape son retard en matière de puissance de calcul. Le Centre de Calcul Recherche et Technologie (CCRT) vient de commander à Bull un supercalculateur d'une puissance de plus de 43 teraflops (soit 43 000 milliards d'opérations par seconde). Constitué de serveurs NovaScale, il sera intégré au complexe de calcul du CEA puis mis à la disposition des membres du CCRT, qui incluent notamment le CEA, EDF et les trois sociétés du groupe Safran, dont la Snecma et Turbomeca. Il serait à l'heure actuelle le supercalculateur civil le plus puissant de France.
"L'acquisition par le CCRT du supercalculateur marque notre volonté de doter la France et l'Europe d'un complexe de calcul à la hauteur des enjeux économiques et industriels auxquels nous auront à faire face dans les prochaines années", souligne Christophe Béhar, président du CCRT, dans un communiqué.
Ce supercalculateur intègrera 848 noeuds de calcul, auxquels s'ajouteront 26 noeuds dédiés à l'administration et à la gestion des entrées / sorties. Chaque noeud sera composé de quatre Processeurs Intel Itanium double coeur. L'infrastructure pour le stockage des données offrira une capacité disque de plus de 420 To. Le système sera exploité au travers de la plate-forme logicielle HPC optimisée par Bull et associant un système d'exploitation Linux.
Après la livraison en 2005 à l'armée française de TERA-10, une machine d'une puissance de 50 teraflops, Bull confime en tout cas son savoir faire en matière de super calculateurs. Sur ce terrain, les champions restent toutefois américains avec par exemple BlueGene/L d'IBM, une machine d'une puissance de 280 teraflop/s au service du département de l'Energie américain. Afin de simuler des tirs d'armes nucléaires, le département américain de la défense devrait quand à lui disposer d'ici 2008 d'un autre supercalculateur, également fabriqué par IBM, dont la puissance devrait dépasser le Petaflop, soit plus de 20 fois la puissance du TERA-10 français...
La France rattrape son retard en matière de puissance de calcul. Le Centre de Calcul Recherche et Technologie (CCRT) vient de commander à Bull un supercalculateur d'une puissance de plus de 43 teraflops (soit 43 000 milliards d'opérations par seconde). Constitué de serveurs NovaScale, il sera intégré au complexe de calcul du CEA puis mis à la disposition des membres du CCRT, qui incluent notamment le CEA, EDF et les trois sociétés du groupe Safran, dont la Snecma et Turbomeca. Il serait à l'heure actuelle le supercalculateur civil le plus puissant de France.
"L'acquisition par le CCRT du supercalculateur marque notre volonté de doter la France et l'Europe d'un complexe de calcul à la hauteur des enjeux économiques et industriels auxquels nous auront à faire face dans les prochaines années", souligne Christophe Béhar, président du CCRT, dans un communiqué.
Ce supercalculateur intègrera 848 noeuds de calcul, auxquels s'ajouteront 26 noeuds dédiés à l'administration et à la gestion des entrées / sorties. Chaque noeud sera composé de quatre Processeurs Intel Itanium double coeur. L'infrastructure pour le stockage des données offrira une capacité disque de plus de 420 To. Le système sera exploité au travers de la plate-forme logicielle HPC optimisée par Bull et associant un système d'exploitation Linux.
Après la livraison en 2005 à l'armée française de TERA-10, une machine d'une puissance de 50 teraflops, Bull confime en tout cas son savoir faire en matière de super calculateurs. Sur ce terrain, les champions restent toutefois américains avec par exemple BlueGene/L d'IBM, une machine d'une puissance de 280 teraflop/s au service du département de l'Energie américain. Afin de simuler des tirs d'armes nucléaires, le département américain de la défense devrait quand à lui disposer d'ici 2008 d'un autre supercalculateur, également fabriqué par IBM, dont la puissance devrait dépasser le Petaflop, soit plus de 20 fois la puissance du TERA-10 français...
