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Selon l'étude comparée des performances des marchés mobiles européens réalisée par l'Omsyc, la France est bien placée sur les indicateurs d'usage et de prix.La France gagne la 4ème place du classement des performances mobiles de l'Omsyc. La 3ème édition de l'étude comparée des marchés mobiles européens réalisée par l'Observatoire mondial des systèmes de communication prend en compte les performances macro-économiques, d'usage, de prix et de dynamique concurrentielle, de 11 pays : Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, Finlande, France, Italie, Pays-Bas, Portugal, Royaume-Uni, Suède.
La Finlande (note globale de 14,11 sur 20), le Portugal (11,64) - plus surprenant - et le Royaume-Uni (11,59) occupent le trio de tête. La France (11,04) n'est pas en reste, puisqu'elle occupe la 4ème place. L'Allemagne (7,40), en revanche, est dernière de ce classement. Sur les 14 indicateurs utilisés par Omsyc (part du secteur mobile dans le PIB, prix moyen de la minute, indice de concentration des opérateurs d'infrastructures, présence des MVNO...), la France obtient 8 notes supérieures à la moyenne.
Au niveau national, d'après les calculs de l'Omsyc, le prix moyen à la minute des appels sortants est de 19 centimes d'euro HT, contre 22 en moyenne. En revanche, sur les appels sortants, la France fait moins bien (16 cts contre 14 en moyenne). En terme de trafic, avec 144 minutes d'appels sortants par mois et par habitant, la France fait bien mieux que la moyenne (98 minutes). Par ailleurs, au niveau national, les appels mobiles représentent 41% du trafic sortant total (fixe et mobile).
En revanche, le pays n'est pas le plus gros consommateur de SMS avec 21 messages courts (16 cts HT l'unité) envoyés par mois et par client, contre une moyenne de 28 SMS (14 cts HT l'unité) pour l'ensemble des pays étudiés.
La France, selon les conclusions d'Omsyc, "est très bien placée sur les indicateurs d'usage et de prix, mais cumule quelques mauvais points" : un taux de pénétration inférieur à la moyenne (80,6% tout de même) et une faible présence des MVNO. Nombreux, les opérateurs mobiles virtuels en France se partagent une part de marché inférieure à 1% (Arcep), alors que l'unique MVNO néerlandais atteint les 3% aux Pays Bas.
Enfin, selon le cabinet Gfk, plus de 20 millions de téléphones mobiles devraient être vendus en France en 2006. Les clients renouvellent leur matériel pour des terminaux Edge ou 3G. Toutefois, globalement, la croissance annuelle des ventes devrait ralentir.
La Finlande (note globale de 14,11 sur 20), le Portugal (11,64) - plus surprenant - et le Royaume-Uni (11,59) occupent le trio de tête. La France (11,04) n'est pas en reste, puisqu'elle occupe la 4ème place. L'Allemagne (7,40), en revanche, est dernière de ce classement. Sur les 14 indicateurs utilisés par Omsyc (part du secteur mobile dans le PIB, prix moyen de la minute, indice de concentration des opérateurs d'infrastructures, présence des MVNO...), la France obtient 8 notes supérieures à la moyenne.
Au niveau national, d'après les calculs de l'Omsyc, le prix moyen à la minute des appels sortants est de 19 centimes d'euro HT, contre 22 en moyenne. En revanche, sur les appels sortants, la France fait moins bien (16 cts contre 14 en moyenne). En terme de trafic, avec 144 minutes d'appels sortants par mois et par habitant, la France fait bien mieux que la moyenne (98 minutes). Par ailleurs, au niveau national, les appels mobiles représentent 41% du trafic sortant total (fixe et mobile).
En revanche, le pays n'est pas le plus gros consommateur de SMS avec 21 messages courts (16 cts HT l'unité) envoyés par mois et par client, contre une moyenne de 28 SMS (14 cts HT l'unité) pour l'ensemble des pays étudiés.
La France, selon les conclusions d'Omsyc, "est très bien placée sur les indicateurs d'usage et de prix, mais cumule quelques mauvais points" : un taux de pénétration inférieur à la moyenne (80,6% tout de même) et une faible présence des MVNO. Nombreux, les opérateurs mobiles virtuels en France se partagent une part de marché inférieure à 1% (Arcep), alors que l'unique MVNO néerlandais atteint les 3% aux Pays Bas.
Enfin, selon le cabinet Gfk, plus de 20 millions de téléphones mobiles devraient être vendus en France en 2006. Les clients renouvellent leur matériel pour des terminaux Edge ou 3G. Toutefois, globalement, la croissance annuelle des ventes devrait ralentir.
