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Faites vos jeux, rien ne va plus chez Palm. Après des restructrations internes aux Etats-Unis mais également en Europe, c'est désormais un actionnaire possédant 6% de Palm qui souhaite qu'une solution de rachat de la société soit rapidement envisagée.
Très discrète depuis quelques mois, se focalisant sans doute sur la commercialisation de nouveaux Smartphone de la gamme Tréo, dont le dernier Tréo 700w sous Windows Mobile disponible depuis quelques semaines aux Etats-Unis, la société Américaine Palm, après avoir été le leader du PDA dans le monde, perd aujourd'hui de nombreuses parts de marché, en faveur des acteurs qui proposent des solutions à base de systèmes d'exploitation Windows Mobile.
Si Palm reste l'une des marques de PDA les plus plebisicitées par le grand public et par les professionnels aux Etats-Unis, en Europe la situation est plus ambigüe, Gilbert FARINA, Vice-Président et Directeur Général, Division Systèmes Personnels, HP France, annonçant par exemple dans nos colonnes que a récemment détrôné Palm de la place de N° 1 en France sur le marché des PDA.
De plus, fort de la scission des activités entre constructeur de périphériques de poche (Palm) et éditeur du système d'exploitation Palm OS (PalmSource), il semble désormais que Palm a bénéficié ces derniers mois du manque de renouvellement et d'intérêt du système Palm OS, aujourd'hui quelque peu vieillissant, ne proposant toujours pas en standard une gestion des applications multi-tâches. Si le "nouveau" système Palm OS 6 Cobalt se devait de rajeunir ce système d'exploitation, il a finalement été abandonné, aucune licence d'exploitation du système n'ayant trouvé preneur, pas même chez Palm.
En attendant qu'éventuellement PalmSource présente dans les mois à venir le successeur du système d'exploitation Palm OS Cobalt qui tournera sous Linux et qui permettra d'être compatible avec une partie des applications Palm OS, laissant la possibilité à Palm de proposer à la vente de nouveaux PDA basés sur celui-ci, les activités PDA de la société apparaissent aujourd'hui en perte de vitesse.
Alors que certains acteurs historiques de Palm ont décidé de quitter l'aventure de la société, dont Philippe NAHMAN, ancien directeur régional, France et Benelux de Palm, qui est entré dans la société au sein de US Robotics en 1997, il semble désormais que certains actionnaires de la société souhaitent avoir un retour sur investissement plus rapide via l'action de Palm côtée au .
En effet, le Wall Street Journal a rapporté aujourd'hui le fait qu'un actionnaire Américain influent possédant 6.6% de Palm a envoyé il y a quelques jours un courrier aux dirigeants de la société pour leur demander d'explorer de nouvelles stratégies alternatives de développement, donc une vente de l'entreprise.
En attendant d'avoir une réponse de Palm, toujours est-il que l'action de la société semble toujours forte, Palm ayant annoncé en fin d'année dernière viser un chiffre d'affaires compris entre 330 et 335 millions de dollars, le tout pour un bénéfice net attendu entre 24 et 29 cents par action.
Très discrète depuis quelques mois, se focalisant sans doute sur la commercialisation de nouveaux Smartphone de la gamme Tréo, dont le dernier Tréo 700w sous Windows Mobile disponible depuis quelques semaines aux Etats-Unis, la société Américaine Palm, après avoir été le leader du PDA dans le monde, perd aujourd'hui de nombreuses parts de marché, en faveur des acteurs qui proposent des solutions à base de systèmes d'exploitation Windows Mobile.
Si Palm reste l'une des marques de PDA les plus plebisicitées par le grand public et par les professionnels aux Etats-Unis, en Europe la situation est plus ambigüe, Gilbert FARINA, Vice-Président et Directeur Général, Division Systèmes Personnels, HP France, annonçant par exemple dans nos colonnes que a récemment détrôné Palm de la place de N° 1 en France sur le marché des PDA.
De plus, fort de la scission des activités entre constructeur de périphériques de poche (Palm) et éditeur du système d'exploitation Palm OS (PalmSource), il semble désormais que Palm a bénéficié ces derniers mois du manque de renouvellement et d'intérêt du système Palm OS, aujourd'hui quelque peu vieillissant, ne proposant toujours pas en standard une gestion des applications multi-tâches. Si le "nouveau" système Palm OS 6 Cobalt se devait de rajeunir ce système d'exploitation, il a finalement été abandonné, aucune licence d'exploitation du système n'ayant trouvé preneur, pas même chez Palm.
En attendant qu'éventuellement PalmSource présente dans les mois à venir le successeur du système d'exploitation Palm OS Cobalt qui tournera sous Linux et qui permettra d'être compatible avec une partie des applications Palm OS, laissant la possibilité à Palm de proposer à la vente de nouveaux PDA basés sur celui-ci, les activités PDA de la société apparaissent aujourd'hui en perte de vitesse.
Alors que certains acteurs historiques de Palm ont décidé de quitter l'aventure de la société, dont Philippe NAHMAN, ancien directeur régional, France et Benelux de Palm, qui est entré dans la société au sein de US Robotics en 1997, il semble désormais que certains actionnaires de la société souhaitent avoir un retour sur investissement plus rapide via l'action de Palm côtée au .
En effet, le Wall Street Journal a rapporté aujourd'hui le fait qu'un actionnaire Américain influent possédant 6.6% de Palm a envoyé il y a quelques jours un courrier aux dirigeants de la société pour leur demander d'explorer de nouvelles stratégies alternatives de développement, donc une vente de l'entreprise.
En attendant d'avoir une réponse de Palm, toujours est-il que l'action de la société semble toujours forte, Palm ayant annoncé en fin d'année dernière viser un chiffre d'affaires compris entre 330 et 335 millions de dollars, le tout pour un bénéfice net attendu entre 24 et 29 cents par action.
