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Le IKEA du téléphone mobile ? Après 3 ans de bataille pour devenir opérateur mobile virtuel, l'opérateur suédois Télé 2 lance enfin son offre de téléphonie mobile sur le réseau cellulaire Orange, deux mois à peine après la signature avec .
Opérateur de téléphonie mobile dès 1981 en Suède, Télé 2 est progressivement devenu le premier opérateur alternatif européen, présent dans les métiers du fixe, du mobile et de l'internet, et revendique 30 millions de clients en Europe dont près de 4 millions en France.
Qualifiant les MVNO actuels d'offres "alibi", avec à peine 0,03% du marché, Télé 2 entend bousculer les 3 grands opérateurs cellulaires et dévoile une offre "simple et pas cher". Télé2 mobile se compose de 3 forfaits : 30 mn (9,85 € TTC), 1 heure (14,85€ TTC), 2 heures (21,85 € TTC) et s'appuie sur une offre sans engagement et sur une offre à forfait avec un téléphone gratuit, le Nokia 6610i, pour tout engagement de 24 mois.
Parmi les autres services, on peut mentionner un prix du SMS à 9 centimes, du MMS à 30 centimes, une facturation à la seconde dès la première seconde, la messagerie vocale, le double appel, la présentation du numéro et la navigation GPRS sur le wap et en particulier sur GoLive, un nouveau portail internet mobile réalisé par Télé 2.
Selon une étude réalisée par TNS, près de 37% des clients de Télé France se déclarent intéressés par une telle offre et l'opérateur pense pouvoir attirer près de 10% de ses clients dès la première année. "on vise évidemment la 4e place et pourquoi pas la 3e place du marché" explique Jean-Louis Constanza, DG de télé 2 Europe du Sud.
Estimant qu'il est n'est pas possible de rentabiliser la quatrième licence UMTS française et un nouveau réseau cellulaire, Télé 2 a donc opté pour la location du réseau Orange mais doit se satisfaire de tarifs de gros finalement assez classiques, l'obligeant à réduire la durée d'appel dans ses offres pour proposer des prix bas. "Nous ne sommes pas satisfaits par les tarifs de gros" concède Jean-Louis Constanza.
Reste à savoir si Télé 2 parviendra à être plus qu'un MVNO "alibi" sur le marché français et si cet opérateur décider un jour de prendre son autonomie en construisant sa propre infrastructure télécom, pourquoi pas avec un autre alternatif.
Opérateur de téléphonie mobile dès 1981 en Suède, Télé 2 est progressivement devenu le premier opérateur alternatif européen, présent dans les métiers du fixe, du mobile et de l'internet, et revendique 30 millions de clients en Europe dont près de 4 millions en France.
Qualifiant les MVNO actuels d'offres "alibi", avec à peine 0,03% du marché, Télé 2 entend bousculer les 3 grands opérateurs cellulaires et dévoile une offre "simple et pas cher". Télé2 mobile se compose de 3 forfaits : 30 mn (9,85 € TTC), 1 heure (14,85€ TTC), 2 heures (21,85 € TTC) et s'appuie sur une offre sans engagement et sur une offre à forfait avec un téléphone gratuit, le Nokia 6610i, pour tout engagement de 24 mois.
Parmi les autres services, on peut mentionner un prix du SMS à 9 centimes, du MMS à 30 centimes, une facturation à la seconde dès la première seconde, la messagerie vocale, le double appel, la présentation du numéro et la navigation GPRS sur le wap et en particulier sur GoLive, un nouveau portail internet mobile réalisé par Télé 2.
Selon une étude réalisée par TNS, près de 37% des clients de Télé France se déclarent intéressés par une telle offre et l'opérateur pense pouvoir attirer près de 10% de ses clients dès la première année. "on vise évidemment la 4e place et pourquoi pas la 3e place du marché" explique Jean-Louis Constanza, DG de télé 2 Europe du Sud.
Estimant qu'il est n'est pas possible de rentabiliser la quatrième licence UMTS française et un nouveau réseau cellulaire, Télé 2 a donc opté pour la location du réseau Orange mais doit se satisfaire de tarifs de gros finalement assez classiques, l'obligeant à réduire la durée d'appel dans ses offres pour proposer des prix bas. "Nous ne sommes pas satisfaits par les tarifs de gros" concède Jean-Louis Constanza.
Reste à savoir si Télé 2 parviendra à être plus qu'un MVNO "alibi" sur le marché français et si cet opérateur décider un jour de prendre son autonomie en construisant sa propre infrastructure télécom, pourquoi pas avec un autre alternatif.
