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Alors que les smartphone sont censés bientôt remplacer les PDA, il existe des différences notables entre les deux technologies mobiles. La principale différence tient dans la signature numérique.
Un article de The Register tente d'expliquer pourquoi cette signature numérique est une mauvaise idée, aussi bien pour les opérateurs céllulaires que pour les utilisateurs.
En effet, avec la signature numérique, il n'est pas possible d'installer sur un téléphone mobile toutes les applications voulues. Il faudra d'abord passer par l'étape souvent coûteuse de la validation puis la signature de son application, autant de points qui font que les développeurs sont plus ou moins nombreux sur telle ou telle plateforme.
La majorité des téléphones mobiles "non smartphone" ne peuvent ainsi pas accepter l'utilisation de logiciels créés par des développeurs "indépendants". L'explication la plus souvent donnée par les opérateurs consiste à protéger l'abonné contre l'utilisation d'applications qui pourraient endommager le téléphone mobile ou simplement empêcher l'utilisation de logiciels qui peuvent porter atteinte à la vie privée des utilisateurs.
Or un représentant de la société Mako, spécialisée dans le conseil en télécommunications, tente de tirer la sonnette d'alarme sur l'utilisation de téléphones bridés. Selon lui, l'argument donné par les opérateurs n'est pas pertinent. En effet, le bridage des applications empêche l'installation de "killer applications", créés par des indépendants, qui feront le succès d'une plateforme.
Un article de The Register tente d'expliquer pourquoi cette signature numérique est une mauvaise idée, aussi bien pour les opérateurs céllulaires que pour les utilisateurs.
En effet, avec la signature numérique, il n'est pas possible d'installer sur un téléphone mobile toutes les applications voulues. Il faudra d'abord passer par l'étape souvent coûteuse de la validation puis la signature de son application, autant de points qui font que les développeurs sont plus ou moins nombreux sur telle ou telle plateforme.
La majorité des téléphones mobiles "non smartphone" ne peuvent ainsi pas accepter l'utilisation de logiciels créés par des développeurs "indépendants". L'explication la plus souvent donnée par les opérateurs consiste à protéger l'abonné contre l'utilisation d'applications qui pourraient endommager le téléphone mobile ou simplement empêcher l'utilisation de logiciels qui peuvent porter atteinte à la vie privée des utilisateurs.
Or un représentant de la société Mako, spécialisée dans le conseil en télécommunications, tente de tirer la sonnette d'alarme sur l'utilisation de téléphones bridés. Selon lui, l'argument donné par les opérateurs n'est pas pertinent. En effet, le bridage des applications empêche l'installation de "killer applications", créés par des indépendants, qui feront le succès d'une plateforme.