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Suez réduit son engagement dans le capital d'Europ@web, après avoir renoncé à l'obtention d'une licence UMTS.
Suez a décidé de réduire son engagement vis-à-vis d'Europ@web et investira 132 millions d'euros pour prendre 18% du capital, annonce vendredi le Groupe Arnault, qui contrôle le fonds d'investissement internet.
"A la suite de la décision de Suez de ne pas concourir pour une licence UMTS en France, qui implique qu'Europ@web n'investira pas dans cette société de communication, Groupe Arnault et Suez sont convenus de limiter la participation de Suez à une augmentation de capital en numéraire de 132 millions d'euros, soit 18% du capital, confirmant ainsi la valorisation de l'accord d'origine", précise la holding de Bernard Arnault, PDG de LVMH, dans un communiqué.
Suez avait annoncé en novembre dernier qu'il apportait 300 millions d'euros pour environ un tiers du capital d'Europ@web tandis que Bernard Arnault s'engageait pour sa part à investir 300 millions d'euros dans le consortium monté par Suez et pour tenter de décrocher une licence UMTS.
Mais devant le prix excessif des licences UMTS, le président de Suez, Gérard Mestrallet, avait décidé en janvier de ne pas participer à la compétition pour la téléphonie mobile de troisième génération
Suez a décidé de réduire son engagement vis-à-vis d'Europ@web et investira 132 millions d'euros pour prendre 18% du capital, annonce vendredi le Groupe Arnault, qui contrôle le fonds d'investissement internet.
"A la suite de la décision de Suez de ne pas concourir pour une licence UMTS en France, qui implique qu'Europ@web n'investira pas dans cette société de communication, Groupe Arnault et Suez sont convenus de limiter la participation de Suez à une augmentation de capital en numéraire de 132 millions d'euros, soit 18% du capital, confirmant ainsi la valorisation de l'accord d'origine", précise la holding de Bernard Arnault, PDG de LVMH, dans un communiqué.
Suez avait annoncé en novembre dernier qu'il apportait 300 millions d'euros pour environ un tiers du capital d'Europ@web tandis que Bernard Arnault s'engageait pour sa part à investir 300 millions d'euros dans le consortium monté par Suez et pour tenter de décrocher une licence UMTS.
Mais devant le prix excessif des licences UMTS, le président de Suez, Gérard Mestrallet, avait décidé en janvier de ne pas participer à la compétition pour la téléphonie mobile de troisième génération