0
En France, les ventes numériques de musique, mobile et téléchargement, ont progressé de près de 79% sur un an, a indiqué le SNEP.
Si le numérique représente l'avenir de la musique, la progression du secteur est loin de compenser la perte enregistrée sur le marché physique.
Selon le Syndicat national de l'édition phonographique (SNEP), les ventes numériques de musique ont progressé de 79% sur un an. La musique numérique représente 5% du marché de la musique enregistrée en France, soit 20 millions d'euros de revenus, dont 64% générés via le mobile.
Quant aux ventes physiques de musique (Cd audio et Dvd musicaux), 95% du marché, soit 353 millions d'euros de chiffre d'affaires, elles ont baissé de 11,3% entre le 1er semestre 2005 et la même période en 2006.
Globalement, le marché français de gros de la musique enregistrée a perdu 8,8% sur un an (de 409 M€ à 373 M€). Bien que cette chute soit "supérieure" aux prévisions, le SNEP se veut confiant.
"Notre sentiment général est un peu plus positif qu'il n'a été depuis que la loi sur le droit d'auteur (DADVSI) a été votée", a déclaré Christophe Lameignère, président du SNEP, la semaine dernière lors d'une conférence de presse. Avant d'ajouter : "Cette nouvelle règle du jeu va nous permettre de reconstruire sur des bases sereines."
Internautes, méfiez-vous ?
Si le numérique représente l'avenir de la musique, la progression du secteur est loin de compenser la perte enregistrée sur le marché physique.
Selon le Syndicat national de l'édition phonographique (SNEP), les ventes numériques de musique ont progressé de 79% sur un an. La musique numérique représente 5% du marché de la musique enregistrée en France, soit 20 millions d'euros de revenus, dont 64% générés via le mobile.
Quant aux ventes physiques de musique (Cd audio et Dvd musicaux), 95% du marché, soit 353 millions d'euros de chiffre d'affaires, elles ont baissé de 11,3% entre le 1er semestre 2005 et la même période en 2006.
Globalement, le marché français de gros de la musique enregistrée a perdu 8,8% sur un an (de 409 M€ à 373 M€). Bien que cette chute soit "supérieure" aux prévisions, le SNEP se veut confiant.
"Notre sentiment général est un peu plus positif qu'il n'a été depuis que la loi sur le droit d'auteur (DADVSI) a été votée", a déclaré Christophe Lameignère, président du SNEP, la semaine dernière lors d'une conférence de presse. Avant d'ajouter : "Cette nouvelle règle du jeu va nous permettre de reconstruire sur des bases sereines."
Internautes, méfiez-vous ?