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Le consortium international chargé des standards du Web entend augmenter le nombre de langues supportées par la spécification SSML 1.0.
Le World Wide Web Consortium (W3C) poursuit ses développements dans le domaine de la synthèse vocale multilingue.
Le consortium international chargé du développement et de la promotion des standards du Web a publié le 3 août 2006 la synthèse d'un de ses ateliers consacrés au "langage de synthèse de la parole".
Pour augmenter le nombre de langues supportées par la spécification SSML 1.0 (Speech Synthesis Markup Language), en particulier le mandarin, l'hindi, l'arabe, le russe et l'hébreu, il est nécessaire de réviser la spécification, notamment dans le cadre d'un accès mobile au Web, a souligné le W3C.
Le standard, insiste le Consortium, doit être en mesure de représenter les caractéristiques des langues parlées comme la tonalité, l'accent et l'accentuation, "afin d'être correctement interprété par un synthétiseur de voix".
A la veille du SpeechTEK 2006, à New York du 7 au 10 août, le W3C invite les chercheurs du monde entier à contribuer à l'amélioration de la spécification SSML.
Recommandation du W3C depuis 2004, le SSML, langage de balises basé sur le standard XML, est destiné à la création de la voix synthétisée sur le Web. SSML offre aux éditeurs de contenus synthétisables un standard pour contrôler la prononciation, le volume, le ton, le rythme etc., et ce "sur toutes les structures capables de synthétiser des données sur le Web".
Dirigé par le britannique Tim Berners-Lee, fondateur du Web, le W3C est piloté conjointement par le laboratoire d'informatique et d'intelligence artificielle du MIT (Etats-Unis), l'ERCIM (France) et l'Université de Keio au Japon.
Le World Wide Web Consortium (W3C) poursuit ses développements dans le domaine de la synthèse vocale multilingue.
Le consortium international chargé du développement et de la promotion des standards du Web a publié le 3 août 2006 la synthèse d'un de ses ateliers consacrés au "langage de synthèse de la parole".
Pour augmenter le nombre de langues supportées par la spécification SSML 1.0 (Speech Synthesis Markup Language), en particulier le mandarin, l'hindi, l'arabe, le russe et l'hébreu, il est nécessaire de réviser la spécification, notamment dans le cadre d'un accès mobile au Web, a souligné le W3C.
Le standard, insiste le Consortium, doit être en mesure de représenter les caractéristiques des langues parlées comme la tonalité, l'accent et l'accentuation, "afin d'être correctement interprété par un synthétiseur de voix".
A la veille du SpeechTEK 2006, à New York du 7 au 10 août, le W3C invite les chercheurs du monde entier à contribuer à l'amélioration de la spécification SSML.
Recommandation du W3C depuis 2004, le SSML, langage de balises basé sur le standard XML, est destiné à la création de la voix synthétisée sur le Web. SSML offre aux éditeurs de contenus synthétisables un standard pour contrôler la prononciation, le volume, le ton, le rythme etc., et ce "sur toutes les structures capables de synthétiser des données sur le Web".
Dirigé par le britannique Tim Berners-Lee, fondateur du Web, le W3C est piloté conjointement par le laboratoire d'informatique et d'intelligence artificielle du MIT (Etats-Unis), l'ERCIM (France) et l'Université de Keio au Japon.