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L'opérateur Bouygues Telecom vient de préciser qu'il avait retenu les équipementiers Nortel et Ericsson pour son futur réseau 3G, destiné à ouvrir en 2007
Le Edge ne suffit plus au troisième opérateur français. Bouygues Telecom vient en effet de préciser qu'il avait retenu les équipementiers canadien Nortel et le suédois Ericsson pour lui fournir les infrastructures cellulaires de son futur réseau 3G, destiné à ouvrir en avril 2007.
Ni le finlandais Nokia, ni le français Alcatel ni l'allemand Siemens n'ont été retenus pour la construction de ce réseau, dont le coût global est estimé à 3 milliards d'euros.
Arrivant avec plus de deux ans de retard sur les réseaux 3G de Orange ou SFR, Bouygues Telecom devrait ainsi sauter l'étape de l'UMTS, dont le débit plafonne à 384 kb/s pour directement proposer le HSDPA, et son débit de 1.8 Mb/s en download.
Le Edge ne suffit plus au troisième opérateur français. Bouygues Telecom vient en effet de préciser qu'il avait retenu les équipementiers canadien Nortel et le suédois Ericsson pour lui fournir les infrastructures cellulaires de son futur réseau 3G, destiné à ouvrir en avril 2007.
Ni le finlandais Nokia, ni le français Alcatel ni l'allemand Siemens n'ont été retenus pour la construction de ce réseau, dont le coût global est estimé à 3 milliards d'euros.
Arrivant avec plus de deux ans de retard sur les réseaux 3G de Orange ou SFR, Bouygues Telecom devrait ainsi sauter l'étape de l'UMTS, dont le débit plafonne à 384 kb/s pour directement proposer le HSDPA, et son débit de 1.8 Mb/s en download.