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En ouvrant un bureau à Beijing, le W3C implique directement les universitaires et les industriels chinois dans l'élaboration des standards internationaux du web
Le W3C, consortium international chargé du développement et de la promotion des standards du web, inaugurera le 27 avril 2006 son tout nouveau bureau chinois.
Intégré au département des technologies informatiques avancées de l'Institut d'ingénierie de l'Université Beihang à Pékin, ce bureau sera inauguré en présence de Steve Bratt, président du W3C, de Jinpeng Huai, directeur du bureau chinois du consortium, de Marie-Claire Forgue, responsable de la communication européenne du W3C, de chercheurs et d'industriels chinois.
Cette grande aventure pour le World Wide Web Consortium (w3.org) témoigne de la montée en puissance de la Chine - ses 1,4 milliard d'habitants, plus de 110 millions d'internautes et 400 millions d'abonnés à la téléphonie mobile - sur l'échiquier économique mondial.
Le taux de croissance annuel du secteur chinois des technologies de l'information est proche de 20%. Ses entreprises (Lenovo, Langchao, UFIDA, Baidu...) attirent clients et investisseurs locaux et internationaux. Quant aux multinationales, elles se pressent pour ouvrir des filiales en Chine.
Le pays progresse plus particulièrement dans les grilles de calcul, les logiciels embarqués, les services, le commerce électronique, le CRM, l'Internet et le web mobiles.
Dans ce contexte favorable, les premiers travaux du bureau chinois du W3C concerneront : Le web mobile, le web sémantique, le "rich web client", les navigateurs vocaux et l'internationalisation des standards.
En intégrant "un acteur majeur des TIC en Asie", le W3C témoigne de sa volonté d'associer à son projet d'élaboration de standards web des spécialistes chinois, et ce malgré le climat répressif qui pèse sur la Toile dans le pays.
Avec l'ouverture de ce nouveau bureau en Chine continentale, le W3C dispose désormais de 16 représentations locales dans le monde (Allemagne, Australie, Benelux, Espagne, Finlande, Hong Kong, Hongrie, Inde, Israël, Maroc, Royaume-Uni, Suède, etc.)
Le W3C, lui-même, est piloté conjointement par le laboratoire d'informatique et d'intelligence artificielle du MIT (Etats-Unis), l'ERCIM - European Research Consortium for Informatics and Mathematics (France) et l'Université de Keio au Japon.
Le W3C, consortium international chargé du développement et de la promotion des standards du web, inaugurera le 27 avril 2006 son tout nouveau bureau chinois.
Intégré au département des technologies informatiques avancées de l'Institut d'ingénierie de l'Université Beihang à Pékin, ce bureau sera inauguré en présence de Steve Bratt, président du W3C, de Jinpeng Huai, directeur du bureau chinois du consortium, de Marie-Claire Forgue, responsable de la communication européenne du W3C, de chercheurs et d'industriels chinois.
Cette grande aventure pour le World Wide Web Consortium (w3.org) témoigne de la montée en puissance de la Chine - ses 1,4 milliard d'habitants, plus de 110 millions d'internautes et 400 millions d'abonnés à la téléphonie mobile - sur l'échiquier économique mondial.
Le taux de croissance annuel du secteur chinois des technologies de l'information est proche de 20%. Ses entreprises (Lenovo, Langchao, UFIDA, Baidu...) attirent clients et investisseurs locaux et internationaux. Quant aux multinationales, elles se pressent pour ouvrir des filiales en Chine.
Le pays progresse plus particulièrement dans les grilles de calcul, les logiciels embarqués, les services, le commerce électronique, le CRM, l'Internet et le web mobiles.
Dans ce contexte favorable, les premiers travaux du bureau chinois du W3C concerneront : Le web mobile, le web sémantique, le "rich web client", les navigateurs vocaux et l'internationalisation des standards.
En intégrant "un acteur majeur des TIC en Asie", le W3C témoigne de sa volonté d'associer à son projet d'élaboration de standards web des spécialistes chinois, et ce malgré le climat répressif qui pèse sur la Toile dans le pays.
Avec l'ouverture de ce nouveau bureau en Chine continentale, le W3C dispose désormais de 16 représentations locales dans le monde (Allemagne, Australie, Benelux, Espagne, Finlande, Hong Kong, Hongrie, Inde, Israël, Maroc, Royaume-Uni, Suède, etc.)
Le W3C, lui-même, est piloté conjointement par le laboratoire d'informatique et d'intelligence artificielle du MIT (Etats-Unis), l'ERCIM - European Research Consortium for Informatics and Mathematics (France) et l'Université de Keio au Japon.
