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Un juge pourrait imposer à Google de transmettre au Département US de la justice des informations sur les recherches effectuées par les utilisateurs du moteur.
Un juge californien a indiqué mardi 14 mars 2006 qu'il pourrait imposer à Google la transmission de données au Département américain de la justice.
Récemment, la société Internet a refusé de révéler au gouvernement des informations relatives aux recherches effectuées par les internautes sur son moteur.
Cette initiative, saluée par les organisations de défense des droits numériques, traduit le souci de Google de respecter la confidentialité des données de ses utilisateurs mais également sa crainte de voir révéler des éléments clés de sa technologie.
Nouvelle donne : Le Département de la justice (usdoj.gov) ne demande plus à consulter "des millions" mais "des milliers" d'informations, mots clés, URL, etc. concernant les recherches effectuées sur Google.com.
Cette requête gouvernementale s'inscrit dans le cadre d'une étude sur la mise en oeuvre de systèmes de filtrage qui limitent l'accès des enfants aux contenus sexuellement explicites diffusés sur Internet.
Le juge James Ware a indiqué qu'il n'est pas question de faire des moteurs de recherche des outils de contrôle des usages pour le gouvernement mais de trouver un compromis qui permette d'assurer une meilleure protection des mineurs.
A l'exception de Google, les sociétés technologiques AOL, ! et MSN ont d'ores et déjà coopéré avec le Département US de la justice.
L'exécutif étatsunien cherche à remettre à l'ordre du jour le "Child Online Protection Act", loi de 1998 bloquée par la Cour Suprême des Etats-Unis.
Un juge californien a indiqué mardi 14 mars 2006 qu'il pourrait imposer à Google la transmission de données au Département américain de la justice.
Récemment, la société Internet a refusé de révéler au gouvernement des informations relatives aux recherches effectuées par les internautes sur son moteur.
Cette initiative, saluée par les organisations de défense des droits numériques, traduit le souci de Google de respecter la confidentialité des données de ses utilisateurs mais également sa crainte de voir révéler des éléments clés de sa technologie.
Nouvelle donne : Le Département de la justice (usdoj.gov) ne demande plus à consulter "des millions" mais "des milliers" d'informations, mots clés, URL, etc. concernant les recherches effectuées sur Google.com.
Cette requête gouvernementale s'inscrit dans le cadre d'une étude sur la mise en oeuvre de systèmes de filtrage qui limitent l'accès des enfants aux contenus sexuellement explicites diffusés sur Internet.
Le juge James Ware a indiqué qu'il n'est pas question de faire des moteurs de recherche des outils de contrôle des usages pour le gouvernement mais de trouver un compromis qui permette d'assurer une meilleure protection des mineurs.
A l'exception de Google, les sociétés technologiques AOL, ! et MSN ont d'ores et déjà coopéré avec le Département US de la justice.
L'exécutif étatsunien cherche à remettre à l'ordre du jour le "Child Online Protection Act", loi de 1998 bloquée par la Cour Suprême des Etats-Unis.