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L'Autorité de régulation des communications électroniques publie la synthèse d'une étude IDC sur le marché français de la PMR ou 'Professional Mobile Radio'.
Le régulateur scrute le marché français des 'réseaux radio professionnels'.
Le secteur de la PMR couvre la construction, l'installation et l'exploitation de réseaux indépendants de communication mobile pour entreprises ou administrations notamment dans les domaines de la sécurité et des transports.
Mardi, dans sa synthèse d'une étude IDC réalisée l'an dernier, l'Arcep a indiqué qu'en 2004 le CA du marché français de la PMR ou 'Professional Mobile Radio' a atteint environ 300 millions d'euros. Sur ces 300 M€, 170 M€ ont été générés par les installateurs (intégration et maintenance des systèmes).
La croissance annuelle du marché est proche de 5%. Par ailleurs, "le besoin de disposer de moyens de communications permanents et sécurisés pour répondre aux exigences de sécurité publique reste d'actualité", a souligné le régulateur (arcep.fr).
Parmi les segments les plus porteurs se trouvent celui des "collectivités locales de 30.000 à 200.000 habitants et celui des transporteurs régionaux de surface."
Du côté des technologies, le marché peut s'appuyer sur les technologies numériques existantes (Tetra ou Tetrapol) et, prochainement, sur la DMR (Digital Mobile Radio).
Pour conclure, l'Autorité rappelle aux acteurs de la PMR : "Dans les bandes 410-430 et 450-470 MHz, ouvertes pour attribution au fil de l'eau depuis janvier 2005, et dans la bande 440-450 MHz, des ressources sont disponibles pour des attributions site par site (technologies numériques à bande étroite, dont la DMR)."
Enfin, précise l'Arcep, "la sous-bande 446,1- 446,2 MHz pourra accueillir les applications en mode talkie-walkie (PMR 446 numérique)" une fois les autorisations en cours arrivées à leur terme, pas avant 2009.
A noter : Le régulateur présentera prochainement les mesures destinées à faciliter l'activité d'exploitant gérant de fréquences (RPX). Les RPX sont autorisés à utiliser un ou plusieurs canaux sur une région pour la fourniture de services de communication à des tiers.
Le régulateur scrute le marché français des 'réseaux radio professionnels'.
Le secteur de la PMR couvre la construction, l'installation et l'exploitation de réseaux indépendants de communication mobile pour entreprises ou administrations notamment dans les domaines de la sécurité et des transports.
Mardi, dans sa synthèse d'une étude IDC réalisée l'an dernier, l'Arcep a indiqué qu'en 2004 le CA du marché français de la PMR ou 'Professional Mobile Radio' a atteint environ 300 millions d'euros. Sur ces 300 M€, 170 M€ ont été générés par les installateurs (intégration et maintenance des systèmes).
La croissance annuelle du marché est proche de 5%. Par ailleurs, "le besoin de disposer de moyens de communications permanents et sécurisés pour répondre aux exigences de sécurité publique reste d'actualité", a souligné le régulateur (arcep.fr).
Parmi les segments les plus porteurs se trouvent celui des "collectivités locales de 30.000 à 200.000 habitants et celui des transporteurs régionaux de surface."
Du côté des technologies, le marché peut s'appuyer sur les technologies numériques existantes (Tetra ou Tetrapol) et, prochainement, sur la DMR (Digital Mobile Radio).
Pour conclure, l'Autorité rappelle aux acteurs de la PMR : "Dans les bandes 410-430 et 450-470 MHz, ouvertes pour attribution au fil de l'eau depuis janvier 2005, et dans la bande 440-450 MHz, des ressources sont disponibles pour des attributions site par site (technologies numériques à bande étroite, dont la DMR)."
Enfin, précise l'Arcep, "la sous-bande 446,1- 446,2 MHz pourra accueillir les applications en mode talkie-walkie (PMR 446 numérique)" une fois les autorisations en cours arrivées à leur terme, pas avant 2009.
A noter : Le régulateur présentera prochainement les mesures destinées à faciliter l'activité d'exploitant gérant de fréquences (RPX). Les RPX sont autorisés à utiliser un ou plusieurs canaux sur une région pour la fourniture de services de communication à des tiers.
