0
Lors de l'audition au Congrès US des sociétés Internet sur leur responsabilité éthique, Google a indiqué que se développer en Chine est un exercice périlleux.
Critiquée pour avoir autorisé le blocage de contenus sur son moteur chinois, la société Google s'est expliquée devant les parlementaires américains.
Mercredi 15 février 2006, Google et ses concurrents étatsuniens ont participé à une audition ouverte par le comité des affaires internationales de la Chambre des représentants concernant la responsabilité éthique des sociétés Internet (house.gov).
Auditionnées à cette occasion Google, !, MSN (Microsoft) et Systems, ont indiqué que se développer sur le marché chinois est un exercice périlleux mais nécessaire, la Chine étant La prochaine 1ère puissance mondiale.
"Monter une affaire en Chine implique l'autocensure", a souligné Elliot Schrage, VP en charge des communications globales chez Google.
Avant de préciser : "L'autocensure s'oppose aux valeurs de Google . Toutefois, nous avons décidé de mettre en ligne sur ce marché un moteur - Google.cn - qui respecte les restrictions sur les contenus imposées par la législation et la régulation chinoises."
Bien que Google comprenne les interrogations et les critiques, la société estime "que Google.cn contribuera - même de manière imparfaite - à l'expansion de l'accès à l'information en Chine."
Le débat reste ouvert...
(http://googleblog.blogspot.com/2006/02/testimony-internet-in-china.html)
Critiquée pour avoir autorisé le blocage de contenus sur son moteur chinois, la société Google s'est expliquée devant les parlementaires américains.
Mercredi 15 février 2006, Google et ses concurrents étatsuniens ont participé à une audition ouverte par le comité des affaires internationales de la Chambre des représentants concernant la responsabilité éthique des sociétés Internet (house.gov).
Auditionnées à cette occasion Google, !, MSN (Microsoft) et Systems, ont indiqué que se développer sur le marché chinois est un exercice périlleux mais nécessaire, la Chine étant La prochaine 1ère puissance mondiale.
"Monter une affaire en Chine implique l'autocensure", a souligné Elliot Schrage, VP en charge des communications globales chez Google.
Avant de préciser : "L'autocensure s'oppose aux valeurs de Google . Toutefois, nous avons décidé de mettre en ligne sur ce marché un moteur - Google.cn - qui respecte les restrictions sur les contenus imposées par la législation et la régulation chinoises."
Bien que Google comprenne les interrogations et les critiques, la société estime "que Google.cn contribuera - même de manière imparfaite - à l'expansion de l'accès à l'information en Chine."
Le débat reste ouvert...
(http://googleblog.blogspot.com/2006/02/testimony-internet-in-china.html)