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Conformément aux voeux de la Commission européenne, Microsoft va fournir aux développeurs un accès au code source de Windows pour serveurs.
Microsoft se plie aux exigences de Bruxelles.
Le numéro un mondial du logiciel a signalé mercredi 25 janvier 2006, fournir une licence donnant accès au code source de l'OS Windows pour serveurs conformément à la décision de la Commission européenne rendue en mars 2004.
Après plusieurs années d'enquête, Bruxelles a infligé une amende de 497 millions d'euros à l'éditeur américain pour "abus de position dominante" et lui a imposé des "mesures correctives".
Microsoft a fait appel et bloqué la sanction financière. Par la suite, l'éditeur s'est engagé à : commercialiser une version "allégée" de Windows, ce qui a été fait, et à divulguer certains protocoles nécessaires à l'interopérabilité entre serveurs sous Windows et logiciels concurrents, ce qui restait à faire.
La 22 décembre 2005, la commissaire à la concurrence, Neelie Kroes, a sommé l'éditeur de se conformer aux exigences de Bruxelles, sous peine d'une astreinte journalière de 2 millions d'euros.
La direction de Microsoft a déclaré mercredi dans un communiqué être allée "au-delà des attentes de la Commission européenne" en fournissant une description précise des protocoles nécessaires à l'interopérabilité souhaitée par Bruxelles.
En outre, les concepteurs de logiciels vont avoir la possibilité de visualiser le code source de Windows pour serveurs dans le cadre du développement de produits interopérables avec ce système d'exploitation, sans pour autant copier le code.
Les développeurs intéressés disposeront d'une licence spécifique. Un programme du même type concernant cette-fois l'OS Windows pour PC, a été mis en place aux Etats-Unis où plus de 20 sociétés auraient fait l'acquisition d'une licence.
Comme l'a fait savoir le porte-parole de Neelie Kroes, la date à laquelle Microsoft devra répondre à la "communication de griefs" de la Commission européenne a été repoussée au 15 février 2006.
Microsoft se plie aux exigences de Bruxelles.
Le numéro un mondial du logiciel a signalé mercredi 25 janvier 2006, fournir une licence donnant accès au code source de l'OS Windows pour serveurs conformément à la décision de la Commission européenne rendue en mars 2004.
Après plusieurs années d'enquête, Bruxelles a infligé une amende de 497 millions d'euros à l'éditeur américain pour "abus de position dominante" et lui a imposé des "mesures correctives".
Microsoft a fait appel et bloqué la sanction financière. Par la suite, l'éditeur s'est engagé à : commercialiser une version "allégée" de Windows, ce qui a été fait, et à divulguer certains protocoles nécessaires à l'interopérabilité entre serveurs sous Windows et logiciels concurrents, ce qui restait à faire.
La 22 décembre 2005, la commissaire à la concurrence, Neelie Kroes, a sommé l'éditeur de se conformer aux exigences de Bruxelles, sous peine d'une astreinte journalière de 2 millions d'euros.
La direction de Microsoft a déclaré mercredi dans un communiqué être allée "au-delà des attentes de la Commission européenne" en fournissant une description précise des protocoles nécessaires à l'interopérabilité souhaitée par Bruxelles.
En outre, les concepteurs de logiciels vont avoir la possibilité de visualiser le code source de Windows pour serveurs dans le cadre du développement de produits interopérables avec ce système d'exploitation, sans pour autant copier le code.
Les développeurs intéressés disposeront d'une licence spécifique. Un programme du même type concernant cette-fois l'OS Windows pour PC, a été mis en place aux Etats-Unis où plus de 20 sociétés auraient fait l'acquisition d'une licence.
Comme l'a fait savoir le porte-parole de Neelie Kroes, la date à laquelle Microsoft devra répondre à la "communication de griefs" de la Commission européenne a été repoussée au 15 février 2006.