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Afin de limiter la contrefaçon, Pfizer, puissant laboratoire pharmaceutique américain, appose sur ses boites de Viagra des étiquettes RFID fournies par Tagsys.
Un système anti-contrefaçon basé sur RFID vole au secours du Viagra.
Un des succès commerciaux du laboratoire pharmaceutique américain Pfizer, ce médicament utilisé dans le traitement des troubles de l'érection a donné naissance à des clones non homologués, des contrefaçons.
Conscient du danger et des risques de pertes financières, Pfizer (pfizer.com) a décidé la mise en place à grande échelle d'une solution anti-contrefaçon basée sur RFID (Radio Frequency IDentification).
Cette technologie d'identification a fait une entrée remarquée aux Etats-Unis dès 2003. Les groupes informatiques HP, , Microsoft et Sun, les spécialistes Manugistics et Manhattan Associates, ou encore l'éditeur européen , fournissent en "puces" des enseignes et marques telles que Wal-Mart et Procter & Gamble.
Pfizer, de son côté, est un des premiers acteurs de l'industrie pharmaceutique à intégrer des étiquettes RFID au conditionnement d'un de ses médicaments.
Le laboratoire précise qu'une puce électronique, complétée d'une antenne, est apposée sur l'étiquette de chaque pilulier de Viagra sur lequel est indiqué un numéro unique. Par une activation radio de l'antenne, ce numéro peut être lu à distance.
Le système permet de renforcer l'authentification du produit et d'assurer aux professionnels (distributeurs et pharmacies) que ce produit et son historique sont connus du laboratoire Pfizer.
Le labo a commencé mi-décembre à intégrer des puces RFID sur ses boites de Viagra commercialisées aux Etats-Unis. En 2006, l'effort est maintenu. Pfizer aurait investi 5 millions de dollars dans ce projet !
A noter : La société française Tagsys (tagsysrfid.com) fournit les puces RFID pour les piluliers de Viagra, tandis que l'américain Alien Technology (alientechnology.com) fournit les 'tags' pour les boites et les palettes.
L'initiative sera-t-elle suffisante pour limiter la fraude ? L'an dernier, 5 millions de cachets contrefaits de Viagra auraient été saisis par les autorités.
Un système anti-contrefaçon basé sur RFID vole au secours du Viagra.
Un des succès commerciaux du laboratoire pharmaceutique américain Pfizer, ce médicament utilisé dans le traitement des troubles de l'érection a donné naissance à des clones non homologués, des contrefaçons.
Conscient du danger et des risques de pertes financières, Pfizer (pfizer.com) a décidé la mise en place à grande échelle d'une solution anti-contrefaçon basée sur RFID (Radio Frequency IDentification).
Cette technologie d'identification a fait une entrée remarquée aux Etats-Unis dès 2003. Les groupes informatiques HP, , Microsoft et Sun, les spécialistes Manugistics et Manhattan Associates, ou encore l'éditeur européen , fournissent en "puces" des enseignes et marques telles que Wal-Mart et Procter & Gamble.
Pfizer, de son côté, est un des premiers acteurs de l'industrie pharmaceutique à intégrer des étiquettes RFID au conditionnement d'un de ses médicaments.
Le laboratoire précise qu'une puce électronique, complétée d'une antenne, est apposée sur l'étiquette de chaque pilulier de Viagra sur lequel est indiqué un numéro unique. Par une activation radio de l'antenne, ce numéro peut être lu à distance.
Le système permet de renforcer l'authentification du produit et d'assurer aux professionnels (distributeurs et pharmacies) que ce produit et son historique sont connus du laboratoire Pfizer.
Le labo a commencé mi-décembre à intégrer des puces RFID sur ses boites de Viagra commercialisées aux Etats-Unis. En 2006, l'effort est maintenu. Pfizer aurait investi 5 millions de dollars dans ce projet !
A noter : La société française Tagsys (tagsysrfid.com) fournit les puces RFID pour les piluliers de Viagra, tandis que l'américain Alien Technology (alientechnology.com) fournit les 'tags' pour les boites et les palettes.
L'initiative sera-t-elle suffisante pour limiter la fraude ? L'an dernier, 5 millions de cachets contrefaits de Viagra auraient été saisis par les autorités.
