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A New York, the Authors Guild et le poète américain Daniel Hoffman ont déposé plainte contre Google pour violation du copyright.
La société américaine d'auteurs the Authors Guild (AG) ainsi que le poète Daniel Hoffman attaquent Google en justice pour violation massive du copyright.
Le spécialiste de la recherche et de la pub sur le web - un empire estimé 90 milliards de dollars - est accusé de ne pas respecter les droits sur la propriété intellectuelle à travers son service de numérisation et d'indexation d'ouvrages Google Print.
Pour mémoire, le Library Project - qui depuis son lacement fin 2004 fait vivement réagir la France (BNF) et l'Europe non anglophone - fait partie de Google Print.
A travers ce programme, Google numérise des millions d'ouvrages appartenant à 5 prestigieuses bibliothèques universitaires anglophones et les rend gratuitement accessible - tout ou partie - à tous ses internautes (http://print.google.com/).
Or selon the Authors Guild (authorsguild.org), Google a contourné l'avis des auteurs en établissant des partenariats avec les directions de ces établissements.
"C'est une violation pure et simple de la législation sur le copyright. Ce n'est pas Google, ou à toutes autres personnes que les auteurs - les ayants droits, de déterminer si oui ou non leurs œuvres peuvent être copiées", a signalé à la presse Nick Taylor, président de the Authors Guild.
Mardi 20 septembre 2005, les plaignants ont déposé une plainte collective (class action suit) auprès d'un tribunal de district, à Manhattan, New York.
L'AG regroupe 8.000 auteurs dont les oeuvres ont été publiées aux Etats-Unis. Depuis 1919, elle défend en lobby (groupe de pression) les intérêts de ses membres, le copyright, la liberté d'expression et publie son bulletin.
La société américaine d'auteurs the Authors Guild (AG) ainsi que le poète Daniel Hoffman attaquent Google en justice pour violation massive du copyright.
Le spécialiste de la recherche et de la pub sur le web - un empire estimé 90 milliards de dollars - est accusé de ne pas respecter les droits sur la propriété intellectuelle à travers son service de numérisation et d'indexation d'ouvrages Google Print.
Pour mémoire, le Library Project - qui depuis son lacement fin 2004 fait vivement réagir la France (BNF) et l'Europe non anglophone - fait partie de Google Print.
A travers ce programme, Google numérise des millions d'ouvrages appartenant à 5 prestigieuses bibliothèques universitaires anglophones et les rend gratuitement accessible - tout ou partie - à tous ses internautes (http://print.google.com/).
Or selon the Authors Guild (authorsguild.org), Google a contourné l'avis des auteurs en établissant des partenariats avec les directions de ces établissements.
"C'est une violation pure et simple de la législation sur le copyright. Ce n'est pas Google, ou à toutes autres personnes que les auteurs - les ayants droits, de déterminer si oui ou non leurs œuvres peuvent être copiées", a signalé à la presse Nick Taylor, président de the Authors Guild.
Mardi 20 septembre 2005, les plaignants ont déposé une plainte collective (class action suit) auprès d'un tribunal de district, à Manhattan, New York.
L'AG regroupe 8.000 auteurs dont les oeuvres ont été publiées aux Etats-Unis. Depuis 1919, elle défend en lobby (groupe de pression) les intérêts de ses membres, le copyright, la liberté d'expression et publie son bulletin.