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Bien que le réseau électrique autorise l'accès internet avec le CPL, le RTE préfère se tourner vers la technologie WiMax pour satisfaire les internautes...
Malgré le lancement du Re ADSL, une technologie longue portée pour desservir les zones rurales, l'Etat teste des technologies alternatives pour réduire la "fracture numérique" entre villes et campagnes. François Loos, ministre délégué à l'Industrie, était à Truchtersheim, le vendredi 22 juillet pour inaugurer une nouvelle expérimentation Wimax (World Interoperability for Microwave Acces) d'accès Internet haut débit par voie hertzienne, en présence d'Adrien Zeller, Président du Conseil régional d'Alsace, de Justin Vogel, Maire de Truchtersheim et d'André Merlin, Directeur de RTE.
Bien que le réseau électrique autorise l'accès internet grâce à la technologie CPL, le RTE a préféré équiper un pylône électrique de 225 000 volts qui servira de support d'accueil des équipements de communications électroniques Wimax sur une portée de 20 km avec un débit de 10 à 20 Mb/s. Les fibres optiques déployées sur le réseau électrique permettront de se raccorder à un fournisseur d'accès à Internet haut débit, et d'offrir de nouveaux services tels que la téléphonie sur IP, la vidéo haute définition et la visioconférence.
A cette occasion, François Loos a rappelé que "la technologie Wimax permet à des territoires non couverts par l'ADSL de profiter d'une offre d'accès Internet à haut débit, simple, performante et abordable " et souligne que " la boucle locale fonctionne. Le Wimax permet d'accéder à l'Internet haut débit avec une excellente qualité de service. Cette technologie va permettre de proposer de nouveaux services à valeur ajoutée, pour le bénéfice de tous les utilisateurs, professionnels, services publics et particuliers".
Avec près de 7 millions d'internautes haut débit, la France est en tout cas en phase avec l'objectif de 10 millions d'abonnés fin 2007. Reste à savoir quelle proportion de ces abonnés utilisera des technologies alternatives à l'ADSL qui couvrent pour le moment près de 95% du marché.
Malgré le lancement du Re ADSL, une technologie longue portée pour desservir les zones rurales, l'Etat teste des technologies alternatives pour réduire la "fracture numérique" entre villes et campagnes. François Loos, ministre délégué à l'Industrie, était à Truchtersheim, le vendredi 22 juillet pour inaugurer une nouvelle expérimentation Wimax (World Interoperability for Microwave Acces) d'accès Internet haut débit par voie hertzienne, en présence d'Adrien Zeller, Président du Conseil régional d'Alsace, de Justin Vogel, Maire de Truchtersheim et d'André Merlin, Directeur de RTE.
Bien que le réseau électrique autorise l'accès internet grâce à la technologie CPL, le RTE a préféré équiper un pylône électrique de 225 000 volts qui servira de support d'accueil des équipements de communications électroniques Wimax sur une portée de 20 km avec un débit de 10 à 20 Mb/s. Les fibres optiques déployées sur le réseau électrique permettront de se raccorder à un fournisseur d'accès à Internet haut débit, et d'offrir de nouveaux services tels que la téléphonie sur IP, la vidéo haute définition et la visioconférence.
A cette occasion, François Loos a rappelé que "la technologie Wimax permet à des territoires non couverts par l'ADSL de profiter d'une offre d'accès Internet à haut débit, simple, performante et abordable " et souligne que " la boucle locale fonctionne. Le Wimax permet d'accéder à l'Internet haut débit avec une excellente qualité de service. Cette technologie va permettre de proposer de nouveaux services à valeur ajoutée, pour le bénéfice de tous les utilisateurs, professionnels, services publics et particuliers".
Avec près de 7 millions d'internautes haut débit, la France est en tout cas en phase avec l'objectif de 10 millions d'abonnés fin 2007. Reste à savoir quelle proportion de ces abonnés utilisera des technologies alternatives à l'ADSL qui couvrent pour le moment près de 95% du marché.
